Années 80. A Rome. La nuit. Un illustre cinéaste, Salvatore, est réveillé par un coup de téléphone de sa mère qui l'appelle de son village natal de Sicile. Son vieil ami, Alfredo, est mort... Flash-back... il se souvient : 40 ans plus tôt, Salvatore, alors appelé Toto hantait le 'Paradiso' et sa cabine de projection, où Alfredo lui apprenait la vie grâce aux vieux mélos et aux comédies...
1990
Oscars : Oscar du meilleur film étranger (Giuseppe Tornatore)
César : César de la meilleure affiche
Nommé pour le César du meilleur film étranger
1989
Festival de Cannes : Grand Prix (Giuseppe Tornatore)
Nommé pour la Palme d'Or
Nommé pour le Prix du Jury
Nommé pour le Prix de la mise en scène
Nommé pour le Prix du Jury Oecuménique
Nommé pour le Prix de la meilleure contribution artistique au Festival International du Film
Nommé pour le Prix Spécial du Jury
BAFTA : Prix du meilleur acteur (Philippe Noiret)
Prix du meilleur acteur dans un second rôle (Salvatore Cascio)
Prix du meilleur scénario original (Giuseppe Tornatore)
Prix de la meilleure musique (Ennio Morricone, Andrea Morricone)
Prix du meilleur film non anglophone (Giuseppe Tornatore, Franco Cristaldi)
Nommé pour la meilleure photographie
Nommé pour le meilleur montage
Nommé pour les meilleurs décors
Nommé pour les meilleurs costumes
Nommé pour les meilleurs maquillages
Nommé pour le meilleur réalisateur
(…) le scénario de Tornatore est un tire-larmes délicieux et très efficace, plein de rire, d'émotion, de ficelles au service d'une juste cause, celle du cinéma. Le Monde
On rit, on est ému, on y va même franchement de sa larme (…) Télérama
(…) il faut reconnaître que Cinema Paradiso est un film fort agréable qui réussit particulièrement son coup lors de la première moitié (…) Positif
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