1810. Après le naufrage de ses navires, un marchand ruiné doit s’exiler à la campagne avec ses six enfants. Parmi eux se trouve Belle, la plus jeune de ses filles, joyeuse et pleine de grâce. Lors d’un éprouvant voyage, le Marchand découvre le domaine magique de la Bête qui le condamne à mort pour lui avoir volé une rose. Se sentant responsable du terrible sort qui s’abat sur sa famille, Belle décide de se sacrifier à la place de son père. Au château de la Bête, ce n’est pas la mort qui attend Belle, mais une vie étrange, où se mêlent les instants de féerie, d’allégresse et de mélancolie. Chaque soir, à l’heure du dîner, Belle et la Bête se retrouvent. Ils apprennent à se découvrir, à se dompter comme deux étrangers que tout oppose. Alors qu’elle doit repousser ses élans amoureux, Belle tente de percer les mystères de la Bête et de son domaine.
Une fois la nuit tombée, des rêves lui révèlent par bribes le passé de la Bête. Une histoire tragique, qui lui apprend que cet être solitaire et féroce fut un jour un Prince majestueux. Armée de son courage, luttant contre tous les dangers, ouvrant son coeur, Belle va parvenir à libérer la Bête de sa malédiction. Et se faisant, découvrir le véritable amour...
2015
César : César des meilleurs décors (Thierry Flamand)
Nommé pour le César de la meilleure photographie
Nommé pour le César des meilleurs costumes
2014
Berlinale : Nommé pour l'Ours d'Argent du meilleur acteur
Nommé pour l'Ours d'Or
Nommé pour l'Ours d'Argent du meilleur réalisateur
Nommé pour le Grand Prix du jury (Ours d'Argent)
Nommé pour l'Ours d'Argent de la meilleure contribution artistique
Nommé pour le Prix Alfred-Bauer
Nommé pour l'Ours d'Argent du meilleur scénario
"L'auteur de "Crying Freeman" et du "Pacte des loups" conjugue mythologie antique et action effrénée, romantisme échevelé et magie des effets spéciaux digitaux." (Jérôme Vermelin, Metro),
"L'oeuvre est loin d'être parfaite, elle est si ambitieuse dans le marasme de la production grand spectacle française qu'elle parvient à emporter l'adhésion de bout en bout." (Laurent Pécha, Ecran Large),
" (...) la version de Christophe Gans, épique et survoltée, est une "love story transgressive", où passe l'ombre de Miyazaki et celle de Mme Leprince de Beaumont, l'auteur du conte d'origine." (François Forestier, Le Nouvel Observateur),
" (...) la générosité dont fait preuve Gans emporte tout sur son passage et les ambitions romanesques de "La Belle et la Bête" anoblissent le cinéma français." (Cédric Delelée, Mad Movies).
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