Dans le dernier opus de la saga mythique, Ip Man se rend aux Etats-Unis à la demande de Bruce Lee afin d’apaiser les tensions entre les maîtres locaux du Kung-fu et son protégé. Il se retrouve très vite impliqué dans un différend raciste entre les forces armées locales et une école d’arts martiaux chinoise établie dans le quartier de Chinatown à San Francisco. Dans une apothéose de combats ultra-maîtrisés, avec la grâce et la sérénité qui le caractérisent, Donnie Yen donne vie, pour la première fois sur grand écran en France, au légendaire maître chinois de Wing Chun.
Parce qu’il apporte une conclusion épique et techniquement aboutie à une des plus spectaculaires et attachantes sagas martiales de ces dernières décennies, "Ip Man 4 : Le Dernier Combat" est appelé à rester comme l’un des grands spectacles de 2020, à ne rater sous aucun prétexte. Ecran Large
Les combats chorégraphiés par Yuen Woo-ping, connu pour avoir orchestré ceux du diptyque Kill Bill (2004) de Quentin Tarantino et de Tigre et Dragon (2001) de Ang Lee, sont sublimes. 20 Minutes
Danny Chan, qui a déjà interprété celui qui a révélé les films d'arts martiaux aux Occidentaux dans la série « La Légende de Bruce Lee », livre une prestation flamboyante lors d'un combat d'anthologie, mimiques du visage et cris inclus. Le Parisien
Comme dans le troisième volet, c'est Yuen Woo-ping qui cisèle les séquences de baston, de vrais moments de grâce où Donnie Yen fracasse des méchants Américains – tous forcément racistes et bas du front – et prouve, avec un kung-fu très beau et très pur, qu'il est toujours le roi du genre. Le Point
Dernier volet d'une superbe saga d'arts martiaux commencée en 2010, "Ip Man 4" est magnifiquement chorégraphié, historiquement passionnant, et ne souffre que d'avoir opposé, au jeu sobre de Donnie Yen, celui, caricaturalement lourdaud, de Scott Adkins. Les Fiches du Cinéma
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