Umi est une jeune lycéenne qui vit dans une vieille bâtisse perchée au sommet d’une colline surplombant le port de Yokohama. Chaque matin, depuis que son père a disparu en mer, elle hisse face à la baie deux pavillons, comme un message lancé à l’horizon. Au lycée, quelqu’un a même écrit un article sur cet émouvant signal dans le journal du campus. C’est peut-être l’intrépide Shun, le séduisant jeune homme qu’Umi n’a pas manqué de remarquer...
Attirés l’un par l’autre, les deux jeunes gens vont partager de plus en plus d’activités, de la sauvegarde du vieux foyer jusqu’à la rédaction du journal. Pourtant, leur relation va prendre un tour inattendu avec la découverte d’un secret qui entoure leur naissance et semble les lier…
Dans un Japon des années 60, entre tradition et modernité, à l’aube d’une nouvelle ère, Umi et Shun vont se découvrir et partager une émouvante histoire d’amitié, d’amour et d’espoir.
Il y a de vrais morceaux de tendresse sur cette "Colline aux coquelicots", ode à la solidarité et aux plaisirs de la vie. 20 Minutes
(...) Une merveille de film d'animation qui allie finesse du dessin, rythme et subtilité des nuances de couleurs. Outre la beauté fulgurante des paysages (...), le talent de Miyazaki réside dans la subtilité des moindres détails. Le Parisien
Comme chez Ozu, le plaisir simple ("le goût du saké") est transcendé par l'élégie, ici le souvenir du père, marin disparu pendant la guerre (...). Une chronique très humaine. Les Inrockuptibles
La patte de Goro Miyazaki se dévoile dans le tempo des séquences, nettement plus paisibles et contemplatives que celles de son père. Libération
Un film qui pourra déconcerter ceux qui s'attendent à toujours plus de merveilleux chez Ghibli. Il est néanmoins touchant, contemplatif, plein de grâce et il mérite d'être vu et revu. Ecran Large
(...) Goro Miyazaki a réussi une oeuvre lumineuse et émouvante (...). La Croix
(...) ce deuxième opus (...) est sans doute mieux réussi et plus personnel que son premier (...). Loin des délires fantastiques, (...) [Goro Miyazaki] préfère ici un ton intimiste, lyrique (...). Positif
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