La rencontre de quatre destins croisés qui vont finir par s'apprivoiser, se connaître, s'aimer, vivre sous le même toit. Camille fait des ménages le soir dans les bureaux et dessine avec grâce à ses heures perdues. Philibert est un jeune aristocrate féru d'histoire, timide, émotif et solitaire, il occupe un grand appartement que possède sa famille. Franck est cuisinier, viril et tendre, il aime infiniment sa grand-mère, Paulette, une vieille dame fragile et drôle. Leurs doutes, leurs chagrins, c'est ensemble qu'ils vont apprendre à les adoucir, pour avancer, réaliser leurs rêves. Ils vont se découvrir et comprendre qu'ensemble, on est plus fort.
2008
César : César du Meilleur jeune espoir masculin (Laurent Stocker)
nommé pour le César du Meilleur acteur dans un second rôle (Laurent Stocker)
nommé pour le César de la Meilleure adaptation (Claude Berri)
European Film Awards - Prix du cinéma européen : nommé pour le Prix du Public - Meilleur film (Claude Berri)
2007
Festival du Film de Cabourg - Journées Romantiques : Prix du meilleur acteur (Guillaume Canet)
Le film ne cherche pas la malice, il observe sur un mode léger, tendre, jubilatoire et sensible, la quête d'harmonie de ces quatres personnages au coeur pur, avec une indiscutable empathie. Le Monde
Il y a dans cette relation qui semble s'être instaurée quelque chose de très touchant, qui passe à l'écran et donne au spectateur l'envie d'y croire et d'en être, lui aussi. Le Nouvel Observateur
De temps en temps surgit sur les écrans un film différent des autres et dont la principale singularité ressemble à un plaisir démodé : diffuser du bonheur (...) C'est le cas d'Ensemble, c'est tout (...) Le Parisien
(...) Il y a, dans Emsemble c'est tout, une jubilation vitale, y compris dans la représentation de l'approche de la mort et du flétrissement des corps, une jubilation qui affirme que le bonheur existe, qu'on peut le rencontrer, l'apprivoiser, pour y reprendre confiance en soi (...) Positif
(...) Claude Berri offre un remontant à une France d'aujourd'hui happée par le désarroi. Première
Le don de bonne humeur n'est plus l'attribution du peuple mais bien celle du film qui (...) finit par tomber sous le (bon) sens. Les Cahiers du cinéma
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