Lui est inventeur de casse-têtes. Investi corps et âme dans son travail, il ne peut se concentrer que dans le silence. Elle est une pianiste accomplie et ne peut vivre sans musique. Elle doit préparer un concours qui pourrait changer sa vie. Ils vont devoir cohabiter sans se voir...
Une belle comédie romantique fraîche et réussie. Elle
Clovis Cornillac signe un premier film drôle, sincère et touchant. Les codes du genre sont respectés, l’humour fait mouche sans être lourd et les tourtereaux séduisent (l’acteur-réalisateur et la pétillante Mélanie Bernier). Une comédie réussie. Metro
"Un peu, beaucoup, aveuglément" apporte la bulle d'air indispensable à un genre moribond. Ecran Large
Superbe idée de scénario, pour une comédie sentimentale enlevée. Le Dauphiné Libéré
Pour son premier film en qualité de réalisateur, Clovis Cornillac a pris le risque d'un départ burlesque. Il est sauvé par un scénario plein de ressources qui s'épanouit petit à petit comme une pivoine en mai. Et pas besoin de chausser des lunettes pour reconnaître en Mélanie Bernier une actrice essentielle au cinéma français. Le Parisien
Le principe de départ est brillant et l’intention de Cornillac, qui a visiblement envie de clamer son romantisme, est réellement touchante. On se prend à rêver de ce que Lubitsch aurait fait d’un tel dispositif, mais on ne peut s’empêcher d’aimer ce joli film mu par des intentions absolument pures. Première
Le film raconte, avec un charme dénué de toute mièvrerie, notre époque où, malgré l'explosion des moyens de communication, la solitude n'a jamais semblé aussi difficile à vivre. Et le duo Cornillac-Bernier s'y révèle aussi piquant que joyeusement assorti. Studio Ciné Live
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