Des trombes d'eau s'abattent sur Singapour. C'est la mousson. Les nuages s'amoncellent aussi dans le coeur de Ling, professeur de chinois dans un lycée de garçons.
Sa vie professionnelle est peu épanouissante et son mari, avec qui elle tente depuis plusieurs années d'avoir un enfant, de plus en plus fuyant. Une amitié inattendue avec l'un de ses élèves va briser sa solitude et l'aider à prendre sa vie en main.
Un mélo charmant. Le Figaro
Dans une lenteur qui ne demeure jamais statique, Weat Season creuse un sillon où la vie et la mort mènent bataille. La délicatesse qu’y adjoint Anthony Chen épargne à son film les accents mélodramatiques que l’on aurait pu craindre. Elle agit, au contraire, comme un fluide capable d’exercer une fascination sur l’histoire pourtant banale de son héroïne. Le Monde
C'est grâce à sa mise en scène délicate, intelligente, qui juge si peu ses personnages, tout en retenue et en hors-champ, souvent, qu'Anthony Chen parvient à nous émouvoir. Les Inrockuptibles
Le récit délicat d’un réveil en douceur après les épreuves de la vie, empreint de la mélancolie de la mousson. Télérama
À la manière d’un peintre impressionniste, Chen procède par petites touches émotionnelles dont l’addition finit par rendre concret le bouleversement intime de Ling. À travers sa trajectoire, c’est aussi toute une société patriarcale déclinante que le film dépeint sans fard. Première
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