Margaux a perdu son mari et commence une nouvelle vie. Elle s’installe chez sa sœur et s’inscrit à l’université pour reprendre des études de littérature. Mais rapidement, elle ressent le besoin d’autres émotions. Elle part en quête d’amour, au risque de s’y perdre...
2020
Festival d’Angoulême : Compétition
Festival de St Jean de Luz : Compétition
Emmanuelle Béart est touchante dans ce rôle de quinquagénaire aux amours compliquées, irradiante et vibrante comme l’était, dans un rôle semblable de femme de 50 ans amoureuse, Juliette Binoche dans "Celle que vous croyez" de Safy Nebbou. Les jeux de l’amour et du hasard sont sans âge et séduisants. Dernières Nouvelles d'Alsace
À l’écran, ce plaisir retrouvé se voit. Emmanuelle Béart apparaît à la fois solaire, sûre et tranquille, alors même que son personnage se trouve à un point de bascule, entre ce qui a été, dramatique, et ce qui peut advenir, incertain. Le chemin des possibles est ouvert. Le Dauphiné Libéré
La comédienne fait un retour devant la caméra avec un premier rôle sensible et émouvant dans le premier film de Ludovic Bergery. Le Figaro
Réalisé avec sobriété et faisant la part belle à des silences qui en disent plus long que les dialogues explicatifs, ce portrait à vif donne l’occasion à Emmanuelle Béart d’incarner son plus beau rôle récent. Marianne
Le sujet n’emballe pas forcément [...]. Mais la photographie de Martin Roux saisit ce cœur et ce corps en hiver dans une blancheur douce, tendre pour le personnage et dure pour le monde, très « 35 mm », qui crée une tension dramatique par le seul jeu des couleurs et des caresses de la caméra. Positif
Un portrait de femme à la sensibilité renversante. Première
La renaissance sensuelle d’une femme endeuillée, à qui Emmanuelle Béart prête avec grâce sa peau et sa personnalité. Télérama
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