Pour l'éternité nous entraîne dans une errance onirique, dans laquelle des petits moments sans conséquence prennent la même importance que les événements historiques : on y rencontre un dentiste, un père et sa fille sous la pluie, un homme dans un bus, un couple dans un café, des jeunes qui dansent, Hitler ou encore l’armée de Sibérie… Une réflexion sous forme de kaléidoscope sur la vie humaine dans toute sa beauté et sa cruauté, sa splendeur et sa banalité.
[Un] film-poème d’une fulgurante beauté. Positif
C’est spécial, unique, déconcertant. Le Figaro
Roy Anderson signe un curieux poème en plans fixes et une réflexion belle et amusée sur l'absurdité de l'existence. Les Echos
En une trentaine de saynètes patiemment composées, Roy Andersson croque les petites lâchetés ordinaires et révèle, par en-dessous, les plaies encore ouvertes de la grande Histoire. Le maître du burlesque sous Prozac fait mouche. Les Fiches du Cinéma
D'une beauté blafarde à se damner. Paris Match
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