Une salle de consommation de drogue à moindre risque a ouvert à Paris. Hors de la violence destructrice de la vie dans la rue, qu'est-ce qui se répare dans l'espace pacifié de la salle de consommation ? Pour ces femmes et ces hommes aux vies malmenées, recevoir des soins, recouvrer des droits, regagner l'humanité. Grâce à la salle les rencontres sont possibles. Alors, ici, faire un film.
2020
La 25e Image - Festival du film social : Prix UNAFORIS
Les monteurs s'affichent : Sélection
Images en bibliothèques : Film soutenu par la Commission nationale de sélection des médiathèques
Cinéma du réel : Compétition française Longs métrages
Respectant une intimité que la rue empêche, cernant l'énigme du manque sans jamais chercher à la percer, le film saisit bien davantage qu'un geste ou une condition : des voix, des corps, des singularités. Cahiers du Cinéma
À la manière des films de Claudine Nougaret et Raymond Depardon, un documentaire éprouvant et souvent bouleversant sur les utilisateurs d’une salle de shoot, un lieu de consommation de drogue à moindre risque, qui leur permet de retrouver un peu de dignité. Les Fiches du Cinéma
À travers la parole de femmes et d’hommes évoquant les affres sanitaires et sociaux de la toxicomanie, mais aussi l’aide qu’ils trouvent dans ce lieu, Ici je vais pas mourir contribue au débat sur la prise en charge de celles et ceux que d’aucuns voudraient simplement ne pas voir. Télérama
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