Trente ans plus tard, je me rends à Macao où je ne suis jamais revenu depuis mon enfance. J’ai reçu un mail à Lisbonne de Candy, une amie dont je n’avais plus de nouvelles depuis longtemps. Elle disait s’être encore aventurée avec les mauvais garçons et elle me priait de venir à Macao où se passaient des choses effrayantes, selon ses propres mots.
Fatigué, après des heures de vol, j’approche de Macao à bord du ferry qui me fera remonter le temps, jusqu’à la période la plus heureuse de ma vie.
2012
Festival du Film de Locarno : Mention Spéciale
Prix Boccalino du Meilleur réalisateur (João Rui Guerra da Mata, João Pedro Rodrigues)
Léopard d'or (João Pedro Rodrigues, João Rui Guerra da Mata)
Poème filmé, invitation au voyage, dédale mémoriel, film noir, "La dernière fois que j'ai vu Macao" est tout cela à la fois, ce qui en dit long sur sa puissance dramatique. Le Monde
Le film de João Pedro Rodrigues et João Rui Guerra da Mata est très beau. (...) "La dernière fois que j’ai vu Macao" se jette en avant en caméra légère, cherche dans un monde d’images les signes d’une beauté nouvelle. Les Inrockuptibles
(...) "La Dernière Fois que j’ai vu Macao",(...) achève(nt) de désigner les cinéastes lisboètes comme ceux qui, aujourd’hui mieux que quiconque, savent trouver la forme la plus juste à leurs fictions pour conter cette époque présente qu’hante la persistance de nos souvenirs play-back. Libération
Assumant l'extravagance de leur projet, les deux réalisateurs font oublier quelques baisses de rythme lors d'une apothéose où cohabitent gaiement fantasmes de réincarnation et animaux apocalyptiques. Première
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