Dans la vie réelle, Suzu est une adolescente complexée, coincée dans sa petite ville de montagne avec son père. Mais dans le monde virtuel de U, Suzu devient Belle, une icône musicale suivie par plus de 5 milliards de followers.
Une double vie difficile pour la timide Suzu, qui va prendre une envolée inattendue lorsque Belle rencontre la Bête, une créature aussi fascinante qu’effrayante. S’engage alors un chassé-croisé virtuel entre Belle et la Bête, au terme duquel Suzu va découvrir qui elle est.
2022
Annie Awards (animation) : nommé pour meilleur long métrage indépendant
nommé pour les meilleurs effets animés
nommé pour le meilleur scénario
nommé pour la meilleure production
2021
Festival de Cannes : séance spéciale sous le label Cannes Première
Belle est aussi sublime visuellement que gorgé d’espoir en l’espèce humaine, représentée par des jeunes solidaires. C’est peut-être parce que Mamoru Hosoda y a mis beaucoup de lui-même que Belle est une telle merveille. 20 Minutes
C’est sur la forme que cette création éblouit : Hosoda, tout en rendant hommage à la version de Disney et en construisant des tableaux dans la grande tradition de l’animation japonaise pour la partie « vie réelle », décline un univers virtuel époustouflant avec le monde virtuel de « U ». Le Parisien
Hosoda réinterprète avec brio une histoire que nous connaissons par cœur tout en mêlant des éléments de féerie et de science-fiction. Le Point
Cet échafaudage à plusieurs niveaux dépasse en ambition et en raffinement plastique les précédents animes du Nippon, qui a l’énorme mérite de se diversifier constamment et de surprendre de film en film, tout en restant fidèle à ses thèmes et à son esthétique. L'Humanité
Le film ne se contente pas juste d'être totalement beau et absolument divertissant, mais de nous montrer la possibilité d'un tout nouvel univers. Première
Belle, film-somme et nouvelle étape dans la construction de l’œuvre, se déploie sur une dimension supplémentaire, ouvertement référentielle, puisqu’il s’affiche d’emblée comme une relecture du conte déjà fréquenté par le cinéma qu’est La Belle et la Bête de Jeanne Marie Leprince de Beaumont. Cahiers du Cinéma
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