Jamais contents... Les hommes pensent qu'ailleurs ce sera forcément mieux. Et, depuis toujours, les sages répètent que le bonheur est sous leurs yeux.
Comme l'illustre cette fable saugrenue et cocasse, avare de paroles, pleine d'animaux et d'ivresse de vivre.
1999
Prix Louis-Delluc
Festival de Cannes : En Sélection officielle
L'air de rien, sur un registre faussement mineur(…) Adieu, plancher des vaches ! poursuit et atteint un rêve presque aussi vieux que le cinéma, celui du "film total". Les Inrockuptibles
Aérien et drôle, Otar Iosseliani signe une fable douce, ironique et alcoolisée. Télérama
Adieu, plancher des vaches ! fonctionne essentiellement par le biais d'un brillant système de rencontres, de retours et de reprises qui permettent les trajets d'un personnage à un autre (…) Chronic'art.com
(…) le nouveau cadeau d'un cinéaste géorgien qui sait nous rendre la vie belle et légère. Le Figaroscope
Adieu, plancher des vaches ! est un film qui ne fait pas mentir son titre. On n'y touche littéralement pas terre (…). Iosseliani invente une exaltation discrète de l'hédonisme. Le Monde
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