Lors d’un voyage en Allemagne, un jeune professeur, Nathan Fabre, découvre au camp de concentration de Buchenwald la photographie d’un détenu dont la ressemblance avec son propre père, Adrien, le stupéfie. De retour en France, le souvenir de cette photographie ne cesse de l'obséder. Face au silence de son père, il décide alors de se pencher sur l'histoire de sa propre famille. Les secrets qu'il y découvre bouleversent son existence. À l'issue de sa quête, Nathan comprendra que le passé, même enfoui au plus profond des mémoires, finit toujours par ressurgir...
C’est cependant moins sur l’ensemble que dans son attention portée à des singularités moins visibles, comme l’ambiguïté des motivations de Nathan, ainsi qu’à des rôles qui auraient pu rester très secondaires que "L’Origine de la violence" trouve sa force discrète, mais réelle. Le Monde
Même si l’histoire, tirée du roman éponyme de Fabrice Humbert, est vraie, on a du mal à y croire, tant l’intrigue accumule les péripéties mélodramatiques alambiquées (...). Heureusement, le film est porté par d’excellents comédiens, notamment Richard Berry, toujours magnifique, qui font passer une authentique émotion. Le Figaroscope
Ce roman sans nuances, mais pas sans qualités, de Fabrice Humbert, Elie Chouraqui a fait le choix de l’adapter presque littéralement. L’intention est respectable, le résultat est maladroit. Le Nouvel Observateur
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