Georges Feydeau

Georges Feydeau

Georges Feydeau
Georges Feydeau par Carolus-Duran
(palais des beaux-arts de Lille).
Biographie
Naissance
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Paris (Second Empire)Voir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 58 ans)
Rueil-Malmaison (Île-de-France, France)Voir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Cimetière de MontmartreVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Georges Léon Jules Marie Joseph FeydeauVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Dramaturge, écrivainVoir et modifier les données sur Wikidata
Père
Ernest FeydeauVoir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Leocadia Zelewska (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Jean-Pierre Feydeau
Michel Feydeau (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Parentèle
Henry Fouquier (beau-père)Voir et modifier les données sur Wikidata
Œuvres principales
Le Dindon, La Dame de chez Maxim, La Puce à l'oreille, Chat en pocheVoir et modifier les données sur Wikidata
signature de Georges Feydeau
Signature
Vue de la sépulture.
Wikipedia
Georges Feydeau
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Georges Feydeau par Carolus-Duran
(palais des beaux-arts de Lille).
Biographie
Naissance
8 décembre 1862Voir et modifier les données sur Wikidata
Paris (Second Empire)Voir et modifier les données sur Wikidata
Décès
5 juin 1921Voir et modifier les données sur Wikidata (à 58 ans)
Rueil-Malmaison (Île-de-France, France)Voir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Cimetière de MontmartreVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Georges Léon Jules Marie Joseph FeydeauVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Dramaturge, écrivainVoir et modifier les données sur Wikidata
Père
Ernest FeydeauVoir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Leocadia Zelewska (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Jean-Pierre Feydeau
Michel Feydeau (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Parentèle
Henry Fouquier (beau-père)Voir et modifier les données sur Wikidata
Œuvres principales
Le Dindon, La Dame de chez Maxim, La Puce à l'oreille, Chat en pocheVoir et modifier les données sur Wikidata
signature de Georges Feydeau
Signature
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Vue de la sépulture.

Georges Feydeau, né le 8 décembre 1862 à Paris et mort le 5 juin 1921 à Rueil-Malmaison, est un auteur dramatique, peintre et collectionneur d'œuvres d'art français, connu pour ses nombreux vaudevilles.

Biographie

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Origines

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Georges Feydeau est le fils de l'écrivain Ernest Feydeau et de Leokadia Bogusława Zalewska, dite Léocadie[1], Polonaise née en 1838 à Varsovie, fille de Bogusław Zalewski et de Luiza Rytterband, considérée comme une « femme galante » et morte en 1924 à Neuilly-sur-Seine. Georges Feydeau naît le 8 décembre 1862 au 49 bis rue de Clichy, ses parents s'étant mariés le 30 janvier 1861 à Lyon. De ses propres déclarations, sa mère lui aurait révélé qu'il était le fils de Napoléon III. D'autres sources indiquent qu'il serait le fils du demi-frère de l'Empereur, le duc de Morny, lui-même fils naturel du comte de Flahaut (qui était lui-même fils illégitime présumé de Talleyrand), rumeurs que confirmera Georges Feydeau en 1919.

Débuts

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Enfant désobéissant malgré une jeunesse dorée, il martyrise sa sœur Diane-Valentine[2] née en 1866. Très jeune, Georges Feydeau perd son insouciance lorsque son père devient hémiplégique, en 1869. Encouragé par son père, il néglige ses études pour se consacrer au théâtre. Son père meurt en 1873, Georges a 11 ans. Sa mère se remarie avec Henry Fouquier en 1876.

Il tente en vain une carrière d'acteur, jouant dans la compagnie Le Cercle des Castagnettes qu'il a fondée. Il se tourne alors vers l'écriture. Sa première pièce, Par la fenêtre, est donnée pour la première fois en 1882, il n'a alors que 19 ans; elle rencontre le succès[3]. Sa première grande pièce en trois actes, Tailleur pour dames, qui est fort bien accueillie en 1886 au théâtre de la Renaissance, lui vaut les encouragements de Labiche. Pour gagner sa vie, il tient la rubrique « Courrier des théâtres » dans le journal de son beau-père Henry Fouquier.

Famille

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Il se marie, le 14 octobre 1889, avec Marie-Anne Carolus-Duran, fille du peintre Carolus-Duran[4] dont il devient l'élève, et de Pauline Croizette ; la peinture expressionniste l'intéresse. Ce mariage d'amour va se solder par un échec, bien que sa femme lui ait donné une fille et trois fils.

  • Germaine (1890-1941) épouse Louis Verneuil.
  • Jacques (1892-1970), ancien combattant, il est blessé en septembre 1914. Il obtient la croix de guerre 1914-1918 avec palmes[5].
  • Michel (1900-1961), épouse Françoise Hoentschel, fille du grand collectionneur Georges Hoentschel, père du comédien Alain Feydeau.
  • Jean-Pierre (1903-1970) est scénariste et dialoguiste de films. Il meurt des suites d'un accident de voiture.

Poursuite de carrière

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250px-Georges_Feydeau_BNF_Gallica.jpgGeorges Feydeau portant sa fine moustache relevée en pointe.

Il puise son inspiration de sa vie de noctambule triste, notamment chez Maxim's, il perd beaucoup d'argent au jeu, prend de la cocaïne dans l'espoir de stimuler ses facultés créatrices et trompe son épouse avec des femmes et, peut-être, des hommes. Il écrit plusieurs pièces en collaboration, notamment avec Maurice Desvallières[6].

Après le succès de Tailleur pour dames en 1886, Feydeau connaît une période difficile. Ses œuvres suivantes, (La Lycéenne, Chat en poche, L'Affaire Édouard…), ne reçoivent au mieux qu'un accueil tiède. La consécration vient en 1892 avec le succès retentissant des pièces Monsieur chasse !, Champignol malgré lui et, dans une moindre mesure, Le Système Ribadier, œuvres qui lui valent le titre de « roi du vaudeville ». Dès lors, Feydeau enchaîne les réussites : L'Hôtel du libre échange et Un fil à la patte en 1894, Le Dindon en 1896, La Dame de chez Maxim en 1899, La main passe en 1902, Occupe-toi d'Amélie en 1908[3].

Collectionneur d'art, il fait notamment l’acquisition du tableau La Neige à Louveciennes d'Alfred Sisley lors de la vente Armand Doria par la Galerie Georges Petit en 1899. Sa collection est mise en vente le 3 avril 1903[7].

En septembre 1909, après une violente dispute avec la coquette Marie-Anne, qui a pris un amant à la suite des nombreuses infidélités de son mari, il quitte le domicile conjugal du 148 rue de Longchamp (cette séparation aboutira au divorce en février 1916) et prétextant les embarras d’un déménagement, il s'installe pour quelques jours dans un palace tout proche de la gare Saint-Lazare, le Grand Hôtel Terminus, chambre 189, rue de Londres[8]. Ce lieu devient son domicile pendant une dizaine d’années; les murs de sa chambre accueillent des œuvres d'artistes devenus à la mode comme Van Gogh ou Utrillo. Il a vendu la majeure partie de son importante collection[9]. Dans cet hôtel, il commence à s'intéresser aux petits grooms de service qu'il fait apparaître dans ses pièces[9].

250px-148-148_bis_rue_de_Longchamp.jpg148 rue de Longchamp. 250px-H%C3%B4tel_Terminus%2C_108_rue_Saint-Lazare%2C_Paris_8e_1.jpgGrand Hôtel Terminus devenu Hôtel Concorde-Saint-Lazare.

Il fréquente les salons, le dimanche celui de Madame de Caillavet (de même origine que sa mère), au no 12 avenue Hoche[10] près de la place de l'Étoile[9].

À la suite de sa séparation conjugale, Feydeau renouvelle le genre du vaudeville par une étude plus approfondie des caractères dans ses comédies de mœurs en un acte, mettant en scène la médiocrité des existences bourgeoises qu'il tourne en ridicule et dont il trouve l'origine dans son propre environnement : On purge bébé (1910), Mais n'te promène donc pas toute nue ! (1911)[6]. Il est le plus souvent question d'intrigues tournant autour du trio du mari cocu, de la femme infidèle et de l'amant, dont les turpitudes divertissent les spectateurs.

Très aimé de ses contemporains et des autres auteurs, il est témoin avec Sarah Bernhardt, le 10 avril 1919, au mariage d'Yvonne Printemps avec Sacha Guitry. Ce dernier est un ami qui continue à lui rendre visite dans la clinique du docteur Sicard à Rueil-Malmaison, pavillon des Tilleuls, lorsqu'il sera interné pour des troubles psychiques, dus à la syphilis qu'il a contractée par le biais d'une jeune travestie[9].

Collection

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Maladie et mort

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Durant un séjour de deux ans dans ce sanatorium et soigné par le docteur Bour, Feydeau est atteint tour à tour de surmenage, de délire, de mégalomanie, de paranoïa. Il est soigné avec les moyens de l'époque : douches froides, bromure, chloral, sédatifs ; la fenêtre de sa chambre est grillagée[9].

Il meurt le 5 juin 1921, à l'âge de 58 ans. Ses funérailles ont lieu en l'église de la Trinité[9]. Georges Feydeau repose au cimetière de Montmartre, inhumé avec son père dans la 30e division. Sa sœur repose avec leur mère au cimetière de Passy[11].

Postérité

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Cent ans après sa mort, en 2021, une partie de son œuvre fait l'objet d'une publication dans la prestigieuse collection de La Pléiade[12].

Théâtre

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  • 1873 : Églantine d'Amboise
  • 1882 : Par la fenêtre
  • 1883 : Amour et Piano ; Gibier de potence
  • 1886 : Fiancés en herbe ; Tailleur pour dames
  • 1887 : La Lycéenne
  • 1888 : Un bain de ménage ; Chat en poche ; Les Fiancés de Loches
  • 1889 : L'Affaire Édouard
  • 1890 : C'est une femme du monde ; Le Mariage de Barillon
  • 1892 : Monsieur chasse ! ; Champignol malgré lui ; Le Système Ribadier
  • 1894 : Un fil à la patte ; Notre futur ; Le Ruban ; L'Hôtel du libre échange
  • 1896 : Le Dindon ; Les Pavés de l'ours
  • 1897 : Séance de nuit ; Dormez, je le veux !
  • 1899 : La Dame de chez Maxim
  • 1902 : La Duchesse des Folies-Bergère
  • 1902 : Le Billet de Joséphine, opéra-comique en trois actes, avec Jules Méry, musique d'Alfred Kaiser
  • 1904 : La main passe
  • 1905 : L'Âge d'or
  • 1906 : Le Bourgeon
  • 1907 : La Puce à l'oreille
  • 1908 : Occupe-toi d'Amélie ; Feu la mère de Madame
  • 1909 : Le Circuit
  • 1910 : On purge bébé
  • 1911 : Mais n'te promène donc pas toute nue ! ; Léonie est en avance ou le Mal joli ; Cent millions qui tombent (inachevée)
  • 1913 : On va faire la cocotte (inachevée)
  • 1914 : Je ne trompe pas mon mari !, pièce en trois actes avec René Peter
  • 1916 : Hortense a dit : « Je m'en fous ! », création au théâtre de la Renaissance avec notamment Raimu

Pièces inédites

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  • L'amour doit se taire
  • À qui ma femme ?
  • Deux coqs pour une poule
  • L'Homme de paille (à ne pas confondre avec la pièce homonyme d'Eugène Labiche)
  • Monsieur Nounou

Monologues

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  • La Petite Révoltée (1880)
  • J'ai mal aux dents (1882)
  • Le Potache (1882)
  • Trop vieux (1882)
  • Un monsieur qui n'aime pas les monologues (1882)
  • Un coup de tête (1882)
  • Aux antipodes (1883)
  • Patte en l'air (1883)
  • Le Petit Ménage (1883)
  • Le Billet de mille (1884)
  • Les Célèbres (1884)
  • Le Volontaire (1884)
  • Le Colis (1885)
  • Les Réformes (1885)
  • L'Homme économe (1886)
  • L'Homme intègre (1886)
  • Les Enfants (1887)
  • Tout à Brown-Séquard ! (1890)
  • Le Juré (1898)
  • Un monsieur qui est condamné à mort (1899)
  • Complainte du pauv' propriétaire (1916)

Notes et références

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  1. Paris Archives, « Acte de naissance de Georges Feydeau no 9/2150/1862 », sur État civil de Paris, 8 décembre 1862 (consulté le 8 avril 2018), p. 31.
  2. Agnès de Noblet, Un univers d'artistes : autour de Théophile et de Judith Gautier, Paris, L'Harmattan, 2003, 548 p. (ISBN 978-2-7475-5417-6, lire en ligne), p. 130.
  3. a et b Pierrick Geais et Condé Nast Digital France, « Ces bâtards royaux qui n'ont pas voulu rester dans l'ombre », sur Vanity Fair, 22 avril 2016 (consulté le 22 juin 2019).
  4. Le peintre prendra à plusieurs reprises Leokadia, la mère de Feydeau, comme modèle.
  5. Henry Gidel, Feydeau, Paris, Flammarion, 1991, 282 p., 24 cm (ISBN 978-2-08-066280-4, OCLC 23828653, lire en ligne).
  6. a et b Henri Gidel, « Le 90e anniversaire de la mort de Feydeau », émission Au cœur de l'histoire sur Europe 1, 7 juin 2011.
  7. Félix Fénéon, Œuvres plus que complètes : chroniques d'art, vol. 1, Paris, Droz, 1970, 510 p. (ISBN 978-2-7475-5417-6, lire en ligne), p. 396.
  8. Il s'inspirera de cet hôtel dans le deuxième acte du Dindon.
  9. a b c d e et f Jean-Jacques Lévêque, Les années folles, 1918-1939 : le triomphe de l'art moderne, Philippe Auzou - acr-edition.com, 1992, 624 p. (ISBN 978-2-86770-054-5, lire en ligne), p. 38.
  10. Acheté en 1878 à Arsène Houssaye, l'adresse était avenue de la Reine-Hortense, nom de l'avenue à l'époque, cf. Jeanne Maurice Pouquet, op. cit., p. 3[réf. non conforme].
  11. Sépulture d'Henry Fouquier, second époux de Leokadia.
  12. « La Pléiade - Catalogue - Bibliothèque de la Pléiade - Georges Feydeau, Théâtre », sur la-pleiade.fr (consulté le 1er décembre 2021).

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Christophe Barbier, Le Monde selon Feydeau. Portes qui claquent, maris cocus, quiproquos et fous rires, Tallandier, 2021 (ISBN 979-1-02104-541-5, lire en ligne)
  • Jacqueline Blancart-Cassou, Georges Feydeau, coll. « Qui suis-je ? », Pardès, 2015 (ISBN 978-2-86714-489-9)
  • Jacqueline Blancart-Cassou, « L’Irréalisme comique de Georges Feydeau », Cahiers de l'AIEF, no 43,‎ 1991, p. 201-16 (lire en ligne, consulté le 8 avril 2018)
  • Henry Gidel, Feydeau, Paris, Flammarion, coll. « Grandes Biographies », 1992
  • Violaine Heyraud, Feydeau, la machine à vertiges, Paris, Classiques Garnier, 2012
  • Jacques Lorcey :
    • L'Homme de chez Maxim's : Georges Feydeau, sa vie, Paris, Séguier, 2004, tome I, coll. « Empreinte », 296 p. (ISBN 2-84049-407-8)
    • Du mariage au divorce : Georges Feydeau, son œuvre, Paris, Séguier, 2004, tome II, 252 p. (ISBN 2-84049-415-9)
    • Georges Feydeau. L'homme et l'œuvre (coffret), Paris, Séguier, 2005 (ISBN 2-84049-416-7)
  • Fabio Perilli, Georges Feydeau : écriture théâtrale et stratégies discursives, ESI, 2010, coll. « Lingue, Linguaggi, Letterature », 228 p. (ISBN 978-88-495-1966-2)
  • Éric-Emmanuel Schmitt, « Des tragédies à l'envers », essai sur Georges Feydeau, Georges et Georges, Paris, Le Livre de poche, 2014 (ISBN 978-2-253-18261-0)
  • Collectif, Georges Feydeau, Les Nouveaux Cahiers de la Comédie-Française, Comédie-Française/L'Avant-scène théâtre, Paris, novembre 2010 (ISBN 978-2-7498-1170-3)

Télévision

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  • Le Monsieur de chez Maxim's, téléfilm de Claude Vajda, scénario et dialogues de Jacques Hiver, France 3, 1994.

Radio

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  • (fr) Liste d'émissions sur Georges Feydeau sur France Culture

Catégories

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Une catégorie est consacrée à ce sujet : Georges Feydeau.
  • Pièces de théâtre de Feydeau
  • Adaptations cinématographiques d'une œuvre de Feydeau

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2436 pages. Temps de lecture estimé 1h31min.
Le Classcompilé n° 108 contient la quasi intégralité des oeuvres de Georges Feydeau (66 titres et 3 annexes) Georges Feydeau (né Georges Léon Jules Marie Feydeau), né à Paris 9e le 8 décembre 1862 et mort à Rueil-Malmaison le 5 juin 1921, est un auteur dramatique, peintre et collectionneur d'art français, connu pour ses nombreux vaudevilles . (Wikip.) Les lci-eBooks sont des compilations d’œuvres appartenant au domaine public. Les textes d’un même auteur sont regroupés dans un volume numérique à la mise en page soignée, pour la plus grande commodité du lecteur. On trouvera la liste complète des volumes sur le site lci-eBooks. CONTENU : LES GRANDES PIÈCES La Lycéenne (1887) Tailleur pour dames (1886) À qui ma femme ? Un bain de ménage (1889) Chat en poche (1888) Les Fiancés de Loches (1888) L’Affaire Edouard (1889) Le Mariage de Barillon (1891) Monsieur chasse ! (1892) Champignol malgré lui (1892) Le systeme Ribadier (1892) Un fil à la patte (1894) Le Ruban (1894) L’Hôtel du Libre Echange (1894) Le dindon (1895) La Dame de chez Maxim (1899) La duchesse des Folies-Bergère (1902) La main passe ! (1904) L’Age d’or (1905) Le Bourgeon (1906) La Puce à l’oreille (1907) Le Circuit (1909) Je ne trompe pas mon mari (1914) Cent millions qui tombent LES COURTES PIÈCES L’amour doit se taire Par la fenêtre (1882) Amour et piano (1883) Gibier de potence (1885) L’Homme de paille Fiancés en herbe (1886) Deux Coqs pour une poule C’est une femme du monde (1890) Monsieur Nounou (1890) Notre futur (1894) Les Pavés de l’ours (1896) Séance de nuit (1897) Dormez, je le veux ! (1897) Feu la mère d eMadame (1908) Léonie est en avance ou le mal joli (1908) On purge bébé ! (1910) «Mais n’te promène donc pas toute nue!» (1911) Léonie est en avance (1911) On va faire la cocotte (1913) Hortense a dit : « Je m’en fous ! » (1916) LES MONOLOGUES La petite révoltée (1880) Le mouchoir (1881) Un coup de tête (1882) Un monsieur qui n’aime pas les monologues (1882) Trop vieux (1882) J’ai mal aux dents (1882) Le potache (1883) Patte en l’air (1883) Aux antipodes (1883) Le petit ménage (1883) Les Célèbres (1884) Le volontaire (1884) Le colis (1885) Le billet d emille (1885) Les Réformes (1885) L’Homme intègre (1886) L’Homme économe (1886) Les enfants (1887) Tout à Brown-Séquard !.. (1890) Le Juré (1898) Un monsieur qui est condamné à mort (1899) Complainte du pauv’ propriétaire (1916) AUTRES La Mi-carême (Conte) Le vaudeville et le mélodrame sont-ils morts ? (Lettre, 1905) comment je suis devenu vaudevilliste (Article, 1908) Les livrels de lci-eBooks sont des compilations d’œuvres appartenant au domaine public : les textes d’un même auteur sont regroupés dans un eBook à la mise en page soignée, pour la plus grande commodité du lecteur. On trouvera le catalogue sur le site de l'éditeur.
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