Fauteuil 14 de l'Académie française | |
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Victor Hugo
Henry Houssaye
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Naissance | ![]() Saint-Paul (La Réunion, France) ![]() |
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Décès | ![]() Louveciennes ![]() |
Sépulture |
Cimetière du Montparnasse, cimetière marin de Saint-Paul ![]() |
Nom de naissance |
Charles Marie René Leconte de Lisle ![]() |
Pseudonyme |
Pierre Gosset ![]() |
Nationalité |
française ![]() |
Formation |
Université de Rennes ![]() |
Activités |
Poète, bibliothécaire, écrivain, traducteur, critique littéraire ![]() |
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Les Orientales ![]() |
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Liste détaillée
Prix Maillé-Latour-Landry ()
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Poèmes antiques, Poèmes barbares, Poèmes tragiques ![]() |
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Source: Article Leconte de Lisle de Wikipédia en français (auteurs)
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Ne pas confondre avec Rouget de Lisle, le comte de Villiers de L'Isle-Adam ou Louis-Joseph de Beaussier de l'Isle
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Fauteuil 14 de l'Académie française | |
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11 février 1886 - 17 juillet 1894 | |
Victor Hugo Henry Houssaye |
Naissance |
22 octobre 1818 ![]() Saint-Paul (La Réunion, France) ![]() |
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Décès |
17 juillet 1894 ![]() Louveciennes ![]() |
Sépulture |
Cimetière du Montparnasse, cimetière marin de Saint-Paul ![]() |
Nom de naissance |
Charles Marie René Leconte de Lisle ![]() |
Pseudonyme |
Pierre Gosset ![]() |
Nationalité |
française ![]() |
Formation |
Université de Rennes ![]() |
Activités |
Poète, bibliothécaire, écrivain, traducteur, critique littéraire ![]() |
Membre de |
Académie française (1886-1894) ![]() |
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Mouvement |
Parnasse ![]() |
Influencé par |
Les Orientales ![]() |
Distinctions | Liste détaillée Prix Maillé-Latour-Landry (1854) Chevalier de la Légion d'honneur (1870) Officier de la Légion d'honneur (1883) Prix Jean-Reynaud (1884) ![]() |
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Charles Marie René Leconte de Lisle, dit Leconte de Lisle, est un poète français, né le 22 octobre 1818 à Saint-Paul sur l'île de la Réunion[1],[n 1] et mort le 17 juillet 1894 à Voisins (Louveciennes).
Son œuvre est composée de trois recueils de poésie, de pièces de théâtre et de traductions d’auteurs anciens.
Il est considéré comme le chef de file du mouvement parnassien : il a exprimé dans des préfaces certains principes auxquels se sont ralliés les poètes d’une génération — entre la période romantique et le symbolisme — regroupés sous le terme de parnassiens à partir de l'année 1866.
Il a été décoré de la Légion d'honneur en 1870 et élu à l'Académie française en 1886.
Charles Marie René Leconte de Lisle naît à Saint-Paul sur l'île de La Réunion (à l'époque appelée Île Bourbon). Il passe son enfance entre La Réunion et la Bretagne, au gré des déménagements de sa famille.
Pendant ses études secondaires, Leconte de Lisle découvre Les Orientales de Victor Hugo et tombe amoureux de sa cousine Marie-Élixenne Naciède de Lanux (1821-1840), qui sera sa muse[réf. souhaitée]. C'est à cette époque qu'il écrit ses premiers essais littéraires.
En 1837, il quitte à nouveau son île natale pour la métropole afin d'obtenir son baccalauréat et poursuivre des études de droit. Le 14 novembre, il s'inscrit à la faculté de droit de Rennes.
Le 21 janvier 1841, Leconte de Lisle est reçu avec difficulté, bachelier en droit. Sa famille s'installe à Saint-Denis (La Réunion). Il abandonne ses études de droit[Quand ?].
Le 10 septembre 1857, il épouse Anna Adélaïde Perray, lingère qu'il avait rencontrée chez son ami d'enfance[réf. souhaitée] Félix Jobbé-Duval et avec laquelle il vit depuis deux ans ; c’est un mariage modeste.
En 1859, sa mère quitte La Réunion et s'établit à Bordeaux chez une de ses filles mariée à un armateur.[réf. nécessaire]
Le 28 décembre 1871, il est nommé "employé"[réf. nécessaire] à la Bibliothèque du Palais du Luxembourg en remplacement de François Coppée. Il accepte, tout en se sentant blessé par la médiocrité de l’offre. Il restera en fonction jusqu'à sa mort.[2]
Entre 1843 et 1845 alors que Leconte de Lisle vit en donnant des leçons et collaborant à des journaux locaux[réf. nécessaire], les rédacteurs du journal phalanstérien La Démocratie pacifique lui proposent une place dans leur société, avec promesse de publier un livre de poésie. Il décide alors de retourner s'installer à Paris.
En 1845, lors de son départ, il rencontre à Brest le phalanstérien Paul de Flotte avec qui il rejoint Paris. Là-bas, il rencontre Charles Baudelaire. Il professe des opinions républicaines et anti-esclavagistes.[réf. nécessaire] C'est à ce moment qu'il se passionne pour la politique et en particulier pour les "idées démocratiques et fouriéristes et pour les phalanstériens"[3].
En 1846, il collabore à des publications fouriéristes : La Phalange, mensuel dont il assure le secrétariat et qui publie plusieurs de ses poèmes ; La Démocratie pacifique, quotidien auquel il donne des contes en prose, quelques articles de politique et un poème (Ode à Fourier) qu’il prononce lors du banquet pour les 74 ans de Charles Fourier le 7 avril 1846.[réf. nécessaire] En juin 1847, il rompt avec l'École phalanstérienne.[réf. nécessaire]
Entre 1848 et 1851, Leconte de Lisle participe très activement à la campagne d’un groupe de jeunes créoles en faveur de l’abolition de l’esclavage.[réf. nécessaire] On l’envoie dans les Côtes-du-Nord[Qui ?], pour se présenter à la députation. Il n'est pas élu. Il aurait été présent sur les barricades, pendant les événements de juin. Il est incarcéré pendant quarante-huit heures.[réf. nécessaire] Déçu par la tournure que prennent les événements après 1848, il se détourne de la politique pour se consacrer à la littérature.
En 1864, tacitement rallié au régime impérial, il accepte une pension payée sur la cassette personnelle de l’Empereur.
Dans sa correspondance de 1871, Leconte de Lisle se montre hostile à la Commune[réf. nécessaire], qui lui semble compromettre les chances d’établir la République.
Le 23 août 1851, présenté à Sainte-Beuve lors d'une soirée littéraire, il récite son poème Midi, qui impressionne Sainte-Beuve : « Mais ceci est un chef-d'œuvre et cet enfant est un grand poète ! »[réf. nécessaire]
Entre 1853 et 1855, Leconte de Lisle fréquente chez Louise Colet Gustave Flaubert, Alfred de Vigny, Victor Cousin, entre autres. Flaubert est enthousiasmé par sa poésie.[réf. nécessaire]
En 1874 il rencontre Victor Hugo.[réf. nécessaire] Le 1er juin 1885, aux funérailles de Victor Hugo, il prononce un discours.
En 1888, il rencontre[4] : la reine Élisabeth de Roumanie, qui signe ses œuvres littéraires du pseudonyme de Carmen Sylva ; la princesse Hélène Vacaresco ; la princesse Brancovan et sa sœur Hélène Bibesco ; Elena Goldschmidt.
En 1891, un différend avec Anatole France, de nature littéraire au départ, conduit Leconte de Lisle à le provoquer en duel. L'affaire ne va pas au-delà de quelques échanges épistolaires.[réf. nécessaire]
Le 1er août 1892, la revue La Plume annonce la constitution d'un comité de souscription pour but d'élever une statue à Charles Baudelaire. Sur le conseil de Stéphane Mallarmé qui décline ce rôle, Leconte de Lisle en a accepte la présidence d'honneur ; c'est à Auguste Rodin que le travail est demandé.
Le 1er juin, José-Maria de Heredia publie dans la revue La Plume une lettre qui lance un appel aux poètes en faveur du monument à ériger à Leconte de Lisle. Il demande à Léon Deschamps, directeur de la revue, l’ouverture d’une souscription dans ses colonnes[5].
En 1877, sa première candidature à l'Académie Française échoue au profit de Victorien Sardou[réf. nécessaire]. Victor Hugo vote pour lui avec ostentation. Leconte de Lisle déclare que le suffrage de Victor Hugo équivaut à son élection et qu’il ne se présenterait plus.[réf. nécessaire]
Le 1er août 1885, il se porte à nouveau candidat à l'Académie française au fauteuil de Victor Hugo. Le 11 février 1886, malgré l'opposition d'adversaires irréductibles, il est élu à l'Académie française, par 21 voix sur 32 votants, au fauteuil de Victor Hugo.[réf. nécessaire] Leconte de Lisle est reçu sous la coupole en le 31 mars 1887 par Alexandre Dumas fils.
Le mardi 17 juillet 1894, à 7 heures du soir, Leconte de Lisle meurt subitement d'une pneumonie[réf. nécessaire] à Voisins, où il se trouve en villégiature chez Élena Goldschmidt.
Le 21 juillet, José-Maria de Heredia et Gaston Boissier prononcent des discours lors des funérailles de Leconte de Lisle. Ses obsèques religieuses ont lieu à Saint-Sulpice. Il est enterré au cimetière du Montparnasse, à Paris. Madame Leconte de Lisle, sa veuve, se voit allouer une pension.[réf. nécessaire] Une souscription publique est ouverte afin d'élever un monument. Son exécution est confiée au sculpteur Denys Puech.
En septembre 1977, les cendres de Leconte de Lisle sont rapatriées à l'île de La Réunion. Il est inhumé le 28 septembre au cimetière marin de Saint-Paul, conformément à son vœu de reposer en terre réunionnaise exprimé dans ses poèmes le Manchy et Si l'Aurore.
Le 9 février 1852, Sainte-Beuve évoque dans un article pour Le Constitutionnel le poème de Leconte de Lisle « Hélène » et y retranscrit « Midi ». Son ami Auguste Lacaussade le met en relation avec l’éditeur Marc Ducloux[réf. souhaitée], qui publie le 4 décembre les Poëmes Antiques, avec la préface. Très remarqué, le recueil prend sa place dans le monde des lettres. Pour Poèmes Antiques, Leconte de Lisle reçoit le prix Maillé-Latour-Landry 1854 de l’Académie française. En 1874, il publie une seconde édition des Poèmes antiques, augmentée et refondue.
En 1855, Leconte de Lisle publie un second recueil intitulé Poèmes et poésies. L'année suivante, il reçoit le prix Lambert de l'Académie française.
En 1857, il publie « Hypatie » et reçoit un nouveau prix de l'Académie française[réf. nécessaire]. En 1858, il publie un recueil de ses Poésies complètes.
En 1862, Leconte de Lisle publie Poésies barbares. Il en publie en 1872 une réédition refondue et augmentée intitulée Poèmes barbares.
En 1884, le recueil Poèmes tragiques paraît. Pour ce recueil, il reçoit le prix Jean-Reynaud de l’Académie française[réf. nécessaire].
Les poètes se revendiquant du mouvement parnassien se retrouvent au salon de Leconte de Lisle et contribuent à une série de recueils collectifs : Le Parnasse contemporain. Leconte de Lisle en préside le comité de rédaction. Trois éditions de ce recueils seront publiées : la première en 1866, la seconde entre 1869 et 1871 (sa publication est interrompue par la guerre contre la Prusse) et la dernière en 1876. 99 poètes ont contribué à ces trois éditions.
En 1860, le succès des recueils poétiques, sa préface des Poèmes antiques, une série d’articles sur Les Poètes contemporains dans Le Nain jaune conduisent les jeunes poètes à adopter Leconte de Lisle comme chef de file d’un nouveau courant poétique.
Au début du mois d'avril 1861, il emménage au 8, boulevard des Invalides, où il commence à recevoir les jeunes poètes. Chaque samedi, ils se rendent dans son salon au cinquième étage « à la file indienne, par un étroit escalier » : d'abord Catulle Mendès (introduit par Louis Ménard), François Coppée et Villiers de L’Isle-Adam ; viendront ensuite Louis-Xavier de Ricard, Paul Verlaine, Jules Andrieu, Albert Mérat, Léon Valade, Léon Dierx, Sully Prudhomme, Albert Glatigny, José-Maria de Heredia, et parfois Mallarmé et Emmanuel des Essarts, etc.
Le 17 avril 1866, il est témoin au mariage de Catulle Mendès avec Judith Gautier. En novembre de la même année, Barbey d’Aurevilly publie un pamphlet comprenant une critique consacrée à Leconte de Lisle et aux 36 autres poètes ayant contribué au premier volet du Parnasse contemporain : Les trente-sept médaillonnets du Parnasse contemporain.
Entre 1867 et 1868, les traductions par Leconte de Lisle de l'Iliade et de l'Odyssée paraissent. Alphonse Daudet, Paul Arène et plusieurs de leurs amis publient un pastiche, Le Parnassiculet contemporain, visant notamment Leconte de Lisle. Dans son premier roman, Alphonse Daudet campe le poète Baghavat, qui est une caricature de Leconte de Lisle.
Début novembre 1885, Paul Verlaine lui consacre une monographie[6], accompagnée d’un portrait-charge dû à Coll-Toc.
Le 14 février 1887, parution de la Protestation des artistes contre la Tour de M. Eiffel, dont Leconte de Lisle est cosignataire parmi environ trois cents artistes[n 2].
En 1871, après la chute de l'Empire et la découverte de la pension qui lui était attribuée, Leconte de Lisle publie des œuvres de commande chez Lemerre : Histoire populaire de la Révolution française et Histoire populaire du christianisme. Il publie aussi anonymement un Catéchisme populaire républicain, qui sera tiré en 24 éditions.
Le 6 janvier 1873, il crée à l’Odéon la tragédie antique Les Érinnyes. La musique de scène de Jules Massenet est jouée par un petit orchestre composé de 40 musiciens sous la direction d'Édouard Colonne, avec Eugène Ysaÿe au premier violon. La même année, il finit de rédiger avec Anatole France l’édition posthume du Grand dictionnaire de cuisine d’Alexandre Dumas père.
En 1874, il se lie avec Victor Hugo.
En 1876, il collabore à une Histoire du Moyen Âge, signée seulement par Pierre Gosset. Le 15 mai, reprise de la pièce Les Érinnyes pour quatre représentations à la Gaîté Lyrique, sous la direction de Jules Danbé. Jules Massenet a remanié la partition : il a ajouté une ouverture, des airs de ballet, une marche et des chœurs. Mais il a aussi réorchestré pour un orchestre symphonique complet.
En 1877, Leconte de Lisle entame une collaboration avec le compositeur Franz Servais pour l’Apollonide.
Après l'échec de sa première candidature à l'Académie française, un important article de Jules Lemaître fait l’éloge de Leconte de Lisle dans La Nouvelle Revue (21 août 1880).
En 1888 L'Apollonide paraît.
Le 16 mars 1889, les Érinnyes sont reprises à l'Odéon pour une série de vingt représentations.
Le 24 février 1892, nouvelle reprise des Érinnyes, à l'Odéon pour une série de seize représentations.
Le choix de certains thèmes et leurs traitements par Leconte de Lisle le relient au romantisme, notamment : la description de la nature sauvage (couleur, exotisme, animaux, …), les sujets historiques et mythologiques, le goût de la liberté dans la fantaisie, l’énergie.
Mais, amplifiant l’impulsion donnée par Théophile Gautier avec son culte de l’Art pour l’Art et par Théodore de Banville, Leconte de Lisle rompt avec ce mouvement et défend une doctrine nouvelle — celle qui va servir de modèle aux parnassiens — caractérisée par quelques principes : la poésie doit rester impersonnelle (le poète ne doit pas chanter son ego) ; le poète doit privilégier le travail de la forme plutôt que se laisser aller à sa seule inspiration débridée. Il doit viser la beauté, dont l’antiquité (grecque, hindoue, nordique, etc.) fournit les modèles absolus ; par opposition aux sentiments, la science, guidée par la raison, constitue un champ d’expression infini. Le poète ne doit pas s’impliquer dans la vie moderne.
En 2011, Edgard Pich, dans son édition critique nouvelle, a mis en évidence qu’entre 1837 et 1847, Leconte de Lisle avait constitué sans les publier quatre recueils de poésie : Essais poétiques de Ch. Leconte de Lisle ; Cœur et âme ; Odes à la France ; Hypatie.
Pendant près d’un siècle et demi, la structure adoptée pour la publication des poésies complètes de Leconte de Lisle a été celle de l’éditeur Alphonse Lemerre, en quatre volumes, constitués entre 1872 et 1895 : Poèmes antiques, Poèmes barbares, Poèmes tragiques, Derniers Poèmes.
Les poèmes de Leconte de Lisle sont sur wikisource.
Titre | Année | Editions | Texte |
---|---|---|---|
Théocrite, Idylles et Épigrammes ; Odes anacréontiques | 1861 | Traduction nouvelle par Leconte de Lisle, Poulet-Malassis et de Broise, | Traduction 1861 Préface de LdL Théocrite : Idylles Épigrammes Odes anacréontiques |
Homère, Iliade | 1866 | Alphonse Lemerre, 1866. Rééditions : [2] - 1874, [3] - 1882, [4] - 1884. | texte |
Homère, Odyssée | 1868 | Alphonse Lemerre | Édition 1893
|
Hésiode, Hymnes orphiques, Théocrite, Biôn, Moskhos, Tyrtée, Odes anacréontiques | 1869 | Alphonse Lemerre
Les traductions de Théocrite et des odes anacréontiques sont révisées par rapport à l'édition 1861. |
Traduction 1869 Hésiode : La Théogonie, Le Bouclier de Hèraklès Les Travaux et les Jours Hymnes orphiques Théocrite : Idylles, Épigrammes Biôn, Idylles Moskhos, Idylles Tyrtée Odes anacréontiques. |
Eschyle | 1872 | Alphonse Lemerre | Leconte de Lisle, Eschyle |
Horace, Œuvres | 1873 | Lemerre | Vol. I : Odes, Épodes, … Vol. II : Satires, Épîtres, … |
Sophocle | 1877 | Lemerre | Leconte de Lisle, Sophocle |
Euripide | 1884 | Alphonse Lemerre | Leconte de Lisle, Euripide tome I, tome II |
Type | Titre | Année | Commentaires, éditions, etc. |
---|---|---|---|
Manifeste |
Préface des Poèmes antiques |
1852 |
Marc Ducloux ; reprise dans le recueil posthume Derniers poèmes, 1895 |
Manifeste |
Préface des Poèmes et poésies |
1855 |
Dentu ; reprise dans le recueil posthume Derniers poèmes, 1895. |
Manifeste |
Préface des Idylles de Théocrite et Odes anacréontiques |
1861 |
Poulet-Malassis et de Broise |
Manifeste |
Avant-propos de l'étude sur les Poètes contemporains |
1864 |
Le Nain Jaune |
Manifeste |
Avertissement de la traduction de l’Iliade d’Homère. |
1867 |
Lemerre |
Récit en prose |
Mon premier amour en prose |
1840 |
Paru dans sa revue littéraire La Variété, 9e livraison, décembre 1840. |
Récit en prose |
Une peau de tigre |
1841 |
Paru dans sa revue littéraire La Variété, 12e livraison, mars 1841. |
Récit en prose |
Le Songe d’Hermann |
1846 |
Paru dans La Démocratie pacifique, 15 février 1846 |
Récit en prose |
La Mélodie incarnée |
1846 |
Paru dans La Démocratie pacifique, 1er avril 1846 |
Récit en prose |
Le Prince Ménalcas |
1846 |
Paru dans La Démocratie pacifique, 16 mai 1846 |
Récit en prose |
Sacatove |
1846 |
Paru dans La Démocratie pacifique, 6 septembre 1846 |
Récit en prose |
Dianora |
1847 |
Paru dans La Démocratie pacifique, 4 avril 1847 |
Récit en prose |
Marcie |
1847 |
Paru dans La Démocratie pacifique, 16 mai 1847 |
Récit en prose |
La Rivière des Songes |
1847 |
Paru dans La Démocratie pacifique, 13 juin 1847 |
Récit en prose |
La Princesse Yaso'da |
1847 |
Paru dans La Démocratie pacifique, 7 novembre 1847 |
Récit en prose |
Phalya-Mani |
1876 |
Paru dans La République des Lettres, 15 octobre 1876 |
Œuvre polémique |
Histoires des guerres sociales |
Écrit en collaboration avec E. Maron. Œuvre non publiée[7]. | |
Œuvre polémique |
L'Inde française |
1857 |
Publié dans Le Présent, t. II, no 12, 1er octobre 1857, p. 307-337 et 416-438. |
Œuvre polémique |
Catéchisme populaire républicain |
1870 |
Lemerre. Paru sans mentionner l'auteur. |
Œuvre polémique |
Histoire populaire du Christianisme |
1871 |
Lemerre |
Œuvre polémique |
Histoire populaire de la Révolution française |
1871 |
Lemerre |
Œuvre polémique |
Histoire du Moyen-Âge |
1876 |
Écrit en collaboration avec Jean Marras et Pierre Gosset. Édition Lemerre. |
Notice |
Notice des Fleurs du mal, 2e édition |
1861 |
Revue Européenne, décembre 1861. Cet article est intégré dans le recueil posthume Derniers poèmes, 1895, en dernière place (VI) des Poètes contemporains. |
Notice |
Avant-propos |
1864 |
Publié dans Le Nain jaune : Avant-propos, 3/08/1864 ; I - Béranger, 13/08/1864 ; II - Lamartine, 20/08/1864 ; III - Victor Hugo, 31/08/1864 ; IV - Alfred de Vigny, 10/09/1864 ; V - Auguste Barbier, 01/10/1864. |
Notice |
Notice sur Victor Hugo |
1887 |
Paru dans l'Anthologie des Poètes français du XIXe siècle, Lemerre, 4 vol., 1887-89. La notice se trouve dans le vol. I |
Notice |
Notice sur Auguste Barbier |
1887 |
Paru dans l'Anthologie des Poètes français du XIXe siècle, Lemerre, 4 vol., 1887-89. La notice se trouve dans le vol. I |
Notice |
Notice sur Edmond Haraucourt |
1889 |
Paru dans l'Anthologie des Poètes français du XIXe siècle, Lemerre, 4 vol., 1887-89. La notice se trouve dans le vol. IV. |
Discours |
Discours prononcé aux funérailles de Victor Hugo |
1885 |
Discours prononcé, au nom des poètes, aux funérailles de Victor Hugo, au Panthéon, le 1er juin 1885 |
Discours |
Discours de réception à l'Académie française |
1887 |
Discours prononcé dans la séance publique tenue par l'Académie française pour la réception de M. Leconte de Lisle, le jeudi 31 mars 1887, Institut de France, 1887. |
Préface |
Léon Vanier, Rimes de mai : Les Églantines |
1891 |
|
Préface |
Georges Bois, Monsieur le Vicaire |
1891 |
Dentu |
Préface |
Préface aux Chauves-Souris de Robert de Montesquiou |
1893 |
G. Richard |
Préface |
Jean Dornis, La Voie douloureuse, roman |
1894 |
Calmann Lévy |
Préface |
Préface à Iskender, histoire persane de Judith Gautier |
1894 |
Paris, Armand Colin et Cie, bibliothèque de romans historiques. Y figure un sonnet liminaire, L'Orient de Leconte de Lisle, repris l'année suivante dans le recueil posthume Derniers Poèmes |
Pétition |
« Soutien à la République et à l'abolition de l'esclavage » |
1848 |
|
Pétition |
« Les artistes contre la tour Eiffel » |
1887 |
La « protestation » des artistes a paru dans le journal Le Temps, 14 février 1887. Leconte de Lisle est l’un des 46 signataires mentionnés, mais sa contribution au texte est inconnue. |
Les deux œuvres suivantes sont mentionnées séparément, car elles posent problème :
La correspondance de Leconte de Lisle a fait l'objet de répertoires :
Trois compositions ont été évoquées plus haut au titre du théâtre de Leconte de Lisle :
Une œuvre orchestrale a été inspirée par un poème de Leconte de Lisle :
Par ailleurs, de nombreux musiciens ont écrit des mélodies sur des poèmes de Leconte de Lisle, parmi lesquels Ernest Chausson, Claude Debussy, Gabriel Fauré et Charles Koechlin, mais aussi Edouard Garnier, Patrick Devanchy, Albert Roussel et Louis Vierne.
Paul Gauguin a intitulé un tableau Poèmes barbares. Il l’a peint en 1896 lors de son second séjour en Polynésie, sous l’influence de la lecture du poème La Genèse polynésienne de Leconte de Lisle. Le tableau est exposé aux Harvard Art Museums à Cambridge (Massachusetts). Il représente une Polynésienne dont la posture combine des gestes chrétiens et bouddhistes ainsi qu’un animal identifié à Ta'aroa, le dieu tahitien créateur de l’univers.
« Pour les traductions en langue allemande, voir Fromm, Bibliographie deutscher Übersetzungen aus dem Französisch zwischen 1700 und 1948. Qaïn a été traduit en tchèque dès 1880 (Prague, Otto). Deux traductions des Érinnyes ont été publiées, en espagnol par la revue de Buenos Ayres Nosotros, et en russe par Lozinskij (1922). Un recueil de morceaux choisis, traduits en russe par Igor Postupalskij et commentés par N. Balachov, a été publié à Moscou en 1960. En Italie, des morceaux choisis de Vigny et de Leconte de Lisle ont été publiés à Milan en 1945, traduits par Filippo Ampola (Éditeur : Garzanti). » (Edgard Pich, Leconte de Lisle et sa création poétique, 1975, p. 535).
À l’occasion du bicentenaire du poète en 2018, sur l’initiative du Conseil départemental de La Réunion, une année commémorative connu sous le nom de « année Leconte de Lisle » est organisée dans l'île avec différents événements : colloques, conférences, lectures, éditions de livrets, musique et à une exposition réalisée d'après le fonds patrimonial de la Bibliothèque départementale de La Réunion, l'Exposition bicentenaire Leconte de Lisle[17] : une légende réunionnaise tout cela dans l'objectif de «faire rayonner sa poésie et la partager, sur le territoire insulaire et au-delà».
Portent le nom de Leconte de Lisle :
En 1934, une plaque réalisée par Henri Navarre est inaugurée au 64 boulevard Saint-Michel, où Leconte de Lisle vécut ses vingt-deux dernières années. Elle fut dévoilée en présence du Président de la République. Cinq discours officiels furent prononcés à cette occasion. Le soir, la Comédie-Française programma une récitation de poèmes et la première représentation d’Hélène.
1818 | Naissance à Saint-Paul sur l'île de La Réunion. |
1822 | Déménagement pour la Bretagne à bord de la Victorine (île Bourbon, 20 mars ; Nantes, 19 juin) et installation à Dinan. |
1829 | Déménagement à Nantes. |
1832 | Déménagement à l’Île Bourbon (Nantes, 18 juin - Île Bourbon, 25 septembre), avec escale à l'Île Maurice. |
1833-1837 | Études secondaires. Premiers essais littéraires. |
1837 | Départ pour la métropole pour des études de droit. Voyage à bord de l’Héloïse (Île Bourbon, 11 mars - Nantes, 30 juin) avec escale au Cap (1er avril) et à Sainte-Hélène (22 avril) |
1838 | Voyage en Bretagne avec plusieurs amis peintres. |
14 novembre 1838 | obtention du baccalauréat, inscription à la faculté de droit à Rennes. |
3 janvier 1840 | mort de Marie-Élixenne à l’âge de dix-huit ans |
1840 | Fondation de La Variété, revue satirique |
juillet 1840 | abandon des études de droit |
21 janvier 1841 | Leconte de Lisle reçu bachelier en droit. |
1841 | Installation de sa famille à Saint-Denis (La Réunion). |
1843 | Retour sur l’Île Bourbon à bord de la Thélaïre (Nantes, 12 juin - Île Bourbon, 3 octobre) avec dérive jusqu'à Terre-Neuve et escale à l'Île Maurice. |
1845 | Départ définitif pour la métropole à bord de l’Anna (Saint-Denis, 23 mars - Saint-Nazaire, 21 juin). |
1846 | Participation à des publications fouriéristes |
1847 | Rupture avec l’École phalanstérienne. |
23 août 1851 | Rencontre de Sainte-Beuve |
1854 | Réception du prix Maillé-Latour-Landry de l’Académie française pour Poëmes Antiques |
1853-1855 | Le Conseil Général de la Réunion lui octroie, comme à Auguste Lacaussade, une pension annuelle de 2 000 francs. |
1855 | Parution de Poèmes et poésies. |
1856 | Réception du prix Lambert (1 000 francs) de l’Académie Française. |
1857 | Mariage. Parution d'Hypatie. Nouveau prix de l’Académie (1 500 francs). |
1858 | Parution de Poésies complètes. |
1860 | Nouveau mouvement poétique avec Leconte de Lisle en chef de file |
1861 | Début de ses salons littéraires |
1862 | Parution de Poèmes barbares. |
1866 | Parution de la première série du Parnasse contemporain |
1867-1868 | Traduction de l'Iliade et de l'Odyssée. |
octobre 1869 | Début de la publication de la deuxième série du Parnasse contemporain |
1870 | Obtention de la Légion d'Honneur |
1871 | Publication de Histoire populaire de la Révolution française et Histoire populaire du christianisme. Suite du deuxième Parnasse contemporain. Emploi à la bibliothèque du Palais du Luxembourg. Publication anonyme du Catéchisme populaire républicain. |
1872 | Réédition refondue et augmentée des Poèmes barbares |
1873 | Création des Érinnyes. Rédaction finale avec Anatole France de l’édition posthume du Grand dictionnaire de cuisine d’Alexandre Dumas père. |
1874 | Seconde édition augmentée et refondue des Poèmes antiques. Rencontre de Victor Hugo. |
1876 | Collaboration à une Histoire du Moyen Âge. Troisième Parnasse contemporain. Reprise de la pièce Les Érinnyes à la Gaîté lyrique |
1877 | Échec de sa première candidature à l’Académie française. Début de la collaboration avec le compositeur Franz Servais pour l’Apollonide. |
1880 | Un important article de Jules Lemaître fait l’éloge de Leconte de Lisle dans La Nouvelle Revue (21 août). |
1883 | Obtention du grade d’officier de la légion d’honneur[n 5]. |
1884 | Poèmes tragiques. Réception du prix Jean-Reynaud de l’Académie française (10 000 F). |
1885 | Discours aux funérailles de Victor Hugo. Nouvelle candidature à l'Académie française au fauteuil de Victor Hugo. Réception du titre de « Prince des poètes »[18]. |
1886 | Élection à l'Académie française |
1887 | Le 31 mars, réception de Leconte de Lisle à l'Académie française. Le 14 mai, création d’Hélène d’Ernest Chausson à la Société Nationale de Musique (Paris). |
1888 | Publication de L'Apollonide. Son salon du samedi reprend. Rencontre de la famille royale de Roumanie. |
1889 | Le 16 mars, reprise des Érinnyes à l'Odéon pour une série de vingt représentations. |
1892 | Le 24 février, nouvelle reprise des Érinnyes, à l'Odéon pour une série de seize représentations. |
1893 | Leçon de Brunetière à la Sorbonne sur Leconte de Lisle. Alphonse Lemerre envisage la publication d'un quatrième recueil du Parnasse contemporain, en y associant le poète. |
17 juillet 1894 | Mort de Leconte de Lisle |
21 juillet 1894 | Funérailles de Leconte de Lisle. Obsèques religieuses à Saint-Sulpice. Enterrement au cimetière du Montparnasse, à Paris. |
1895 | Publication de Derniers poèmes, édités par José-Maria de Heredia et André de Guerne. |
3 décembre 1896 | Représentation au théâtre de l'Odéon de la version théâtrale de L'Apollonide (1888) précédée d'une conférence de Jules Lemaître. |
10 juillet 1898 | Inauguration du monument de Denys Puech. |
1899 | Le 29 janvier, création mondiale du drame musical (opéra) L'Apollonide, musique de Franz Servais, dans une traduction allemande de Mlle Brunnemann, au Théâtre Grand-Ducal de Karlsruhe et sous la direction de Felix Mottl. Les critiques sont enthousiastes. |
1908 | Inauguration à Saint-Denis d'un buste du poète, sculpté par José de Charmay. |
1910 | Entrée des Érinnyes au répertoire de la Comédie-Française[n 6],[19]. |
1927-1928 | Publication des Poésies complètes de Leconte de Lisle, texte définitif avec notes et variantes de Jacques Madeleine et Eugène Vallée, aux éditions Lemerre, en quatre tomes. |
22 février 1933 | Le 22 février, création de l'association Les Admirateurs de Leconte de Lisle, sous la présidence d'Edmond Haraucourt. |
29 mai 1933 | Le 29 mai, inauguration d'une exposition rétrospective par le Président de la République, Albert Lebrun. |
3 juin 1934 | Inauguration d'une plaque commémorative au 64 boulevard Saint-Michel |
1965 | Fin des éditions Lemerre et de leur exclusivité sur les œuvres de Leconte de Lisle. |
1976-1978 | Publication des Œuvres de Leconte de Lisle, édition critique par Edgard Pich, à la Société d'édition « Les Belles Lettres », en quatre tomes. |
septembre 1977 | Retour des cendres de Leconte de Lisle sur l'Île de La Réunion.
|
2011 | Début de la publication des Œuvres complètes, édition critique par Vincent Vivès, aux Classiques Garnier, série Leconte de Lisle dirigée par Didier Alexandre, annoncée en onze tomes. |
2011-2015 | Nouvelle édition critique des Œuvres complètes par Edgard Pich, aux Éditions Honoré Champion, en cinq tomes. |
Les éditions des œuvres ou poésies complètes sont, selon l'ordre chronologique inverse de leur publication :
En format de poche, il existe une édition de deux recueils, présentée, établie et annotée par Claudine Gothot-Mersch, Gallimard, collection « Poésie » :
Depuis 2000 :
Le tableau suivant inclut la plupart des critiques retenues par Catulle Mendès, dans l'article consacré à Leconte de Lisle dans son Rapport sur le Mouvement poétique français de 1867 à 1900, Imprimerie nationale, 1902, p. 162-166 (voir le texte de l'article et les extraits des critiques sur Gallica).
Auteur | Date | Titre et édition |
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Sainte-Beuve |
1852 |
« De la Poésie et des Poëtes en 1852 », dans le Constitutionnel, 9 février 1852 reproduisant in extenso le poème Midi ; |
Gustave Planche |
1853 |
« La Poésie et les Poètes en France en 1853 », dans la Revue des deux Mondes, 1853, vol. 3, septembre, p. 1192-1215. |
Armand de Pontmartin |
1854 |
« M. Leconte de Lisle », dans Causeries littéraires, ch. Les Poëtes, IV, p. 89-99 |
Charles Baudelaire |
1861 |
« Leconte de Lisle », dans la Revue fantaisiste, 15 août 1861, repris dans L'Art romantique, ch. XV, Réflexions sur quelques-uns de mes contemporains, no IX, p. 386-391 |
Sainte-Beuve |
1862 |
« Le Poëme des Champs de M. Calemard de Lafayette » (1), 21 et 22 avril 1962 ; |
Sainte-Beuve |
1865 |
« De la Poésie en 1865 », dans Le Constitutionnel : (I) 12 juin 1865 ; (II) 19 juin 1865 ; (III) 26 juin 1865 ; (IV) 3 juillet 1865 ; |
Théophile Gautier |
1868 |
Rapport sur les progrès de la poésie (II) |
Francisque Sarcey |
1873 |
« Chronique théâtrale », dans Le temps, 13 janvier 1873, p. 1-2, après la représentation des Érinnyes. |
Léon Dierx |
1876 |
« Leconte de Lisle », dans La République des Lettres, 23 juillet 1876, p. 80-84. |
Jules Lemaître |
1879 |
« Le Mouvement poétique en France », |
Paul Bourget |
1885 |
« M. Leconte de Lisle », Nouveaux essais de psychologie contemporaine, ch. VII, p. 81-133[23]. |
Paul Verlaine | 1885 | « Leconte de Lisle », dans Les Hommes d’aujourd’hui (no 241, décembre 1885), accompagné d’un portrait-charge dessiné par Coll-Toc |
Jules Lemaître |
1886 |
Les Contemporains. Études et portraits littéraires, deuxième série, H. Lecène et H. Oudin ; ch. I, Leconte de Lisle, p. 5-47. |
Jules Lemaître |
1887 |
Notice Leconte de Lisle, in Anthologie des poètes français du XIXe siècle, Alphonse Lemerre |
Anatole France |
1887 |
« M. Leconte de Lisle à l'Académie française », dans le journal Le Temps du 27 mars 1887, p. 2, et repris dans La Vie littéraire, première série, 1892, p. 95-106. |
Jules Lemaître |
1888 ? |
« Euripide, L'Ion d'Euripide, et l'Apollonide de Leconte de Lisle » ; repris dans Impressions de Théâtre, 9e série, Boivin & Cie, ch. 1, p. 1-13. |
Charles Morice |
1889 |
La Littérature de tout à l'heure, Librairie académique Didier, Perrin et Cie, 1889, p. 210-214. |
Ferdinand Brunetière |
1893 |
« M. Leconte de Lisle », leçon du 17 mai 1893 à la Sorbonne ; article paru dans la Revue bleue du 20 mai 1893 ; |
Pierre Quillard |
1894 |
« Leconte de Lisle », article dans Mercure de France, août 1894 p. 305-310. |
Citons, parmi les auteurs d'études parues entre 1895 et 1944 :
Citons parmi les études parues depuis 1945 :
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