Affiche du document Radioscopie (Artistes): Jacques Chancel reçoit Herbert von Karajan

Radioscopie (Artistes): Jacques Chancel reçoit Herbert von Karajan

Jacques Chancel

  • Classique
Accès libre
Affiche du document Radioscopie (Artistes): Jacques Chancel reçoit Régine Crespin

Radioscopie (Artistes): Jacques Chancel reçoit Régine Crespin

Jacques Chancel

  • Ambiance / musique de genre / musak
Accès libre
Affiche du document Radioscopie (Artistes): Jacques Chancel reçoit César

Radioscopie (Artistes): Jacques Chancel reçoit César

Jacques Chancel

  • Ambiance / musique de genre / musak
Accès libre
Affiche du document Radioscopie (Artistes): Jacques Chancel reçoit Daniel Barenboïm

Radioscopie (Artistes): Jacques Chancel reçoit Daniel Barenboïm

Jacques Chancel

  • Classique
Accès libre
Affiche du document Radioscopie: Jacques Chancel reçoit Thierry Le Luron

Radioscopie: Jacques Chancel reçoit Thierry Le Luron

Thierry Le Luron

  • Ambiance / musique de genre / musak
Accès libre
Affiche du document Radioscopie: Jacques Chancel reçoit Yves Montand

Radioscopie: Jacques Chancel reçoit Yves Montand

Yves Montand

  • Variété française
Accès libre
Affiche du document Radioscopie: Jacques Chancel reçoit l'Abbé Pierre

Radioscopie: Jacques Chancel reçoit l'Abbé Pierre

Abbé Pierre

  • Musique du monde
Accès libre
Affiche du document Radioscopie: Jacques Chancel reçoit Raymond Devos

Radioscopie: Jacques Chancel reçoit Raymond Devos

Raymond Devos

  • Ambiance / musique de genre / musak
Accès libre
Affiche du document Radioscopie: Jacques Chancel reçoit Georges Brassens

Radioscopie: Jacques Chancel reçoit Georges Brassens

Georges Brassens

  • Variété française
Accès libre
Affiche du document Radioscopie: Jacques Chancel reçoit Jacques Brel

Radioscopie: Jacques Chancel reçoit Jacques Brel

Jacques Brel

  • Variété française
Accès libre
Affiche du document Fin de concession

Fin de concession

De Pierre Carles

2h08min40

  • Documentaire
Où en est la critique radicale des médias en France dix ans après la parution de "Sur la télévision" de Pierre Bourdieu, des "Nouveaux chiens de garde" de Serge Halimi, du journal "Pour Lire Pas Lu/Le Plan B",des films de Pierre Carles "Pas vu pas pris" et "Enfin pris ?". Toujours d’attaque, semble t-il, à voir comment Carles et ses comparses repartent en 2009, fleur au fusil, à l’assaut de la citadelle TF1 et des dinosaures du PAF.  Leur documentaire porte sur la privatisation de TF1 et sur le fait qu’aucune chaîne de télévision n’a enquêté sur les conditions d’attribution de la première chaîne française au groupe industriel Bouygues, ou sur les rapports de la famille Bouygues avec un certain… Nicolas Sarkozy, avocat d’affaires de Martin Bouygues. Mais au fur et à mesure que Pierre Carles (alias Carlos Pedro, vrai-faux caméraman uruguayen) et sa bande de reporters pieds nickelés tentent de régler leurs comptes aux puissants de la télévision, les choses ne se déroulent pas comme prévu. Le réalisateur a perdu une partie de son fighting spirit ; ses adversaires savent désormais comment s’y prendre pour neutraliser ou ignorer l’ex-chevalier blanc du petit écran. Aussi, il en vient à se poser des questions sur son rôle de justicier, sur le contre-pouvoir, sur sa volonté de changer le monde. Et avec lui, chemine une réflexion ludique et bouleversante : que n’avons nous pas fait pour que rien ne bouge ? La critique des médias aurait-elle fait son temps ? Ou bien faut-il envisager de changer de méthodes ?
Forfait
Affiche du document Pas Vus Pas Pris

Pas Vus Pas Pris

De Pierre Carles

1h25min13

  • Documentaire
Au départ, il y a une séquence piratée somme toute anodine, la discussion très amicale entre le responsable d’une grande chaîne de télévision et un homme politique. Pierre Carles (sorte de Buster Keaton du petit écran, journaliste aussi déterminé que lunaire d’apparence) s’en empare et fait le tour des présentateurs-vedettes et des responsables de l’information des chaînes de télévision en leur demandant s’ils accepteraient de la diffuser. Et là, soudainement, les choses prennent des proportions énormes. Car chacun se retrouve bien embarassé. D’être dévoilé ? De devoir juger un confrère ? Ou tout simplement de devoir subir les méthodes qu’il fait d’ordinaire subir aux autres ? Ce qui est certain, c’est que les masques tombent et que les journalistes apparaissent soudain dans toute la satisfaction du pouvoir qu’ils exercent et qu’ils veulent conserver. Conçue comme une comédie pleine de surprises et de rebondissements, peuplée de personnages hauts en couleurs, "Pas vu pas pris" est une plongée assez jubilatoire dans un univers qu’il nous semblait bien connaître et dont on découvre ici le vrai visage.
Forfait