Paul Robeson

Paul Robeson

Paul Robeson
Paul Robeson en 1942.
Biographie
Naissance
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PrincetonVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 77 ans)
PhiladelphieVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Cimetière de FerncliffVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
américaineVoir et modifier les données sur Wikidata
Domicile
Paul Robeson House (en) (-)Voir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Université Rutgers–New Brunswick (en)
School of Oriental and African Studies
Columbia Law School
Somerville High School (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Chanteur, acteur, homme politique, joueur de football américain, écrivain, joueur de basket-ball, avocat, musicologueVoir et modifier les données sur Wikidata
Période d'activité
-Voir et modifier les données sur Wikidata
Père
William Drew Robeson I (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Maria Louisa Bustill (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Eslanda Robeson
Enfant
Paul Robeson, Jr. (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Parti politique
Parti progressisteVoir et modifier les données sur Wikidata
Membre de
Alpha Phi Alpha
Phi Beta KappaVoir et modifier les données sur Wikidata
Arme
Brigades internationalesVoir et modifier les données sur Wikidata
Conflit
Guerre d'EspagneVoir et modifier les données sur Wikidata
Mouvement
Renaissance de HarlemVoir et modifier les données sur Wikidata
Taille
1,91 mVoir et modifier les données sur Wikidata
Poids
99,3 kgVoir et modifier les données sur Wikidata
Sport
Football américainVoir et modifier les données sur Wikidata
Équipe
Pros d'AkronVoir et modifier les données sur Wikidata
Position
End (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Tessiture
Baryton-basse (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Labels
Columbia Records, Philips Records, EMIVoir et modifier les données sur Wikidata
Personnes liées
Betty Papworth (en) (ami ou amie), Samuel Rosen (d) (ami ou amie)Voir et modifier les données sur Wikidata
Distinctions
Liste détaillée
Médaille Spingarn ()
Paul Robeson Award (en) ()
Black Filmmakers Hall of Fame (en) ()
Grammy du couronnement d'une carrière ()
New Jersey Hall of Fame ()
Prix ​​international Staline « Pour le renforcement de la paix entre les nations » (en)
Étoile du Hollywood Walk of Fame
Prix DonaldsonVoir et modifier les données sur Wikidata
Films notables
Filmographie de Paul Robeson (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Discographie
Discographie de Paul Robeson (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Archives conservées par
Stuart A. Rose Manuscript, Archives, and Rare Book Library (d)[1]
Bibliothèques de l'université Rutgers (d)[2]
Schomburg Center for Research in Black Culture (Sc MG 170)[3]Voir et modifier les données sur Wikidata
Wikipedia
Paul Robeson
330px-Paul_Robeson_1942_crop.jpg
Paul Robeson en 1942.
Biographie
Naissance
9 avril 1898Voir et modifier les données sur Wikidata
PrincetonVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
23 janvier 1976Voir et modifier les données sur Wikidata (à 77 ans)
PhiladelphieVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Cimetière de FerncliffVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
américaineVoir et modifier les données sur Wikidata
Domicile
Paul Robeson House (en) (1965-1976)Voir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Université Rutgers–New Brunswick (en)
School of Oriental and African Studies
Columbia Law School
Somerville High School (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Chanteur, acteur, homme politique, joueur de football américain, écrivain, joueur de basket-ball, avocat, musicologueVoir et modifier les données sur Wikidata
Période d'activité
1925-1963Voir et modifier les données sur Wikidata
Père
William Drew Robeson I (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Maria Louisa Bustill (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Eslanda Robeson
Enfant
Paul Robeson, Jr. (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Parti politique
Parti progressisteVoir et modifier les données sur Wikidata
Membre de
Alpha Phi Alpha
Phi Beta KappaVoir et modifier les données sur Wikidata
Arme
Brigades internationalesVoir et modifier les données sur Wikidata
Conflit
Guerre d'EspagneVoir et modifier les données sur Wikidata
Mouvement
Renaissance de HarlemVoir et modifier les données sur Wikidata
Taille
1,91 mVoir et modifier les données sur Wikidata
Poids
99,3 kgVoir et modifier les données sur Wikidata
Sport
Football américainVoir et modifier les données sur Wikidata
Équipe
Pros d'AkronVoir et modifier les données sur Wikidata
Position
End (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Tessiture
Baryton-basse (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Labels
Columbia Records, Philips Records, EMIVoir et modifier les données sur Wikidata
Personnes liées
Betty Papworth (en) (ami ou amie), Samuel Rosen (d) (ami ou amie)Voir et modifier les données sur Wikidata
Distinctions
Liste détaillée
Médaille Spingarn (1945)
Paul Robeson Award (en) (1974)
Black Filmmakers Hall of Fame (en) (1974)
Grammy du couronnement d'une carrière (1998)
New Jersey Hall of Fame (2009)
Prix ​​international Staline « Pour le renforcement de la paix entre les nations » (en)
Étoile du Hollywood Walk of Fame
Prix DonaldsonVoir et modifier les données sur Wikidata
Films notables
Filmographie de Paul Robeson (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Discographie
Discographie de Paul Robeson (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Archives conservées par
Stuart A. Rose Manuscript, Archives, and Rare Book Library (d)[1]
Bibliothèques de l'université Rutgers (d)[2]
Schomburg Center for Research in Black Culture (Sc MG 170)[3]Voir et modifier les données sur Wikidata

Paul LeRoy Bustill Robeson (né à Princeton, New Jersey, le 9 avril 1898 – mort à Philadelphie, Pennsylvanie, le 23 janvier 1976) est un acteur, athlète, chanteur et militant des droits civiques afro-américain.

Biographie

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Enfance, jeunesse, études

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Le père de Paul Robeson, William Drew Robeson[4], s'est enfui à l'âge de quinze ans d'une plantation de Caroline du Nord où il était né esclave en 1844. Il entreprend des études et, diplômé de l'université Lincoln, une université historiquement noire, il devient pasteur de l'Église presbytérienne de Princeton de 1880 à 1901. Il est ensuite pasteur à Westfield, puis Somerville, dans le New Jersey. Il meurt en 1918.

Sa mère, Maria Louisa Bustill, est la descendante d'une famille de quakers métis (européenne, africaine et amérindienne) et libres de Pennsylvanie, activement abolitionniste. Elle périt dans un incendie, en 1904, alors que Paul n'a que 6 ans[5].

Très bon athlète, Paul Robeson a reçu de nombreuses récompenses sportives en football américain, baseball, basketball et course à pied. Après ses études secondaires à la Somerville High School (en) de Somerville dans le Massachusetts[6], il est admis à l'université Rutgers[7] (New Jersey) où il obtient un Bachelor of Arts (licence)[8], puis déménage à Harlem et intègre la faculté de Droit de l'université Columbia[9], à New York. En 1923 il exerce le métier d'avocat, carrière qu'il doit abandonner à cause du racisme dont il est victime. Plus tard, il fera des études à la School of Oriental and African Studies de Londres[10].

Carrière

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Paul Robeson devient un acteur et un chanteur célèbre grâce à sa voix de basse. Il obtient un très grand succès non seulement en Amérique mais aussi en Europe et en Afrique, au point que les autorités coloniales craignent son éventuelle influence sur les populations colonisées.

Dans les années 1920, il épouse Eslanda Cardoso Goode[11], « Essie », biologiste au Presbyterian Hospital de New York[12], avec laquelle il se rend en Angleterre où il commence sa carrière d’acteur. Entre 1925 et 1942, il va jouer dans onze films, principalement britanniques. Parmi ses plus grands succès figurent Song of Freedom, The Proud Valley, Show Boat, Les Mines du Roi Salomon. C’est à Londres qu’il commence également à étudier l’histoire et les cultures du continent africain, allant jusqu’à parler une vingtaine de langues africaines, dont une dizaine couramment. Il quitte l’Angleterre pendant la Seconde Guerre mondiale et regagne les États-Unis puis continue à parcourir le monde avec son épouse. Il est également approché par le réalisateur soviétique Sergueï Eisenstein qui souhaite réaliser un film sur la guerre d’indépendance d’Haïti et qui l'accueille à Moscou, mais le projet n'aboutira finalement pas.

Engagement politique

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250px-Robeson_Hagen_Othello.jpgUta Hagen et Paul Robeson dans Othello (Broadway, 1944). 250px-Paul_Robeson_by_Karsh%2C_1941.jpgPaul Robeson en 1938.

Durant ses nombreux voyages en Union Soviétique[13], Paul Robeson dénonce vigoureusement les conditions de vie des Afro-Américains aux États-Unis, en particulier dans les États du Sud ségrégationnistes, et dénonce le lynchage.

Le fait qu'il ait défendu dans certains de ses écrits et discours les politiques intérieures et extérieures de l'Union soviétique de Staline confirme ses sympathies envers le communisme. Il chante notamment une adaptation anglaise de l'hymne soviétique. En 1958, il vient fêter son anniversaire en URSS où une fête grandiose est donnée en son honneur.

Il est également célèbre en république populaire de Chine, pour avoir chanté l'hymne national chinois, La Marche des Volontaires, pendant la seconde guerre sino-japonaise.

Il devient une figure controversée dans les années 1950 et ses enregistrements et films sont de moins en moins diffusés aux États-Unis. En 1952, il reçoit le prix Staline[14]. De 1950 à 1958, le département d'État Américain lui interdit de quitter le territoire national et lui confisque son passeport[15]. Paul Robeson peut être ajouté au nombre des victimes du maccarthysme[16]. Sa carrière d'avocat, aux États-Unis, est vouée à la défense des victimes de l'esclavage et à la dénonciation de l'apartheid en Afrique du Sud et de façon plus générale à la défense des opprimés.

Son épouse et lui obtiennent à nouveau leur passeport et repartent en tournée à l’étranger avant de revenir définitivement aux États-Unis en 1966, lorsque Eslanda meurt d’un cancer. Commence alors une période de déchéance pour Paul Robeson, qui va passer le restant de ses jours à Harlem, souvent hospitalisé, dans l’isolement et la pauvreté malgré les nombreux amis qui lui écrivent du monde entier. Après deux infarctus, il meurt d’un arrêt cardiaque en janvier 1976, à l’âge de 77 ans.

Chanteur populaire

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Certains critiques, qui n'avaient aucun goût pour le parti communiste, savaient reconnaître ses grandes qualités humaines autant qu’artistiques. Les titres de ses chansons sont éloquents : Songs my Mother taught me, Lazy Bones, Mississippi, Drink to me only with Thine Eyes, Dat all, At Dawning (I love you), etc. Il chante des chansons populaires du monde entier, depuis les ballades irlandaises jusqu’au folklore des pays de l'Est et surtout, bien entendu, les standards afro-américains.

Décès

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Paul Robeson décède le 23 janvier 1976 des suites d'un arrêt cardiaque au Penn Presbyterian Medical Center (en) de Philadelphie[17].

Il repose au cimetière de Ferncliff dans l'État de New York[18].

Prix, distinction et hommages

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  • 1945 : récipiendaire de la médaille Spingarn décernée par la National Association for the Advancement of Colored People[19].
  • 1952 : lauréat du prix Staline de la paix (renommé en 1956 prix Lénine pour la paix) [20],[21].
  • 1958 : cérémonie d'inscription de son étoile sur le Hollywood Walk of Fame, au 6660 Hollywood Boulevard[22].
  • 1971 : création du Paul Robeson Award (en) par l'Actors' Equity Association (en)[23],[24].
  • 1993 : inscription au Hall of Fame du club de football de Somerville[25].
  • 1999 : création du Paul Robeson Institute for Ethics, Leadership, and Social Justice[26],[27].
  • 2006 : la School of Oriental and African Studies de Londres baptise une de ses résidences pour étudiants Paul Robeson House[28].
  • 2018 : le musée du Quai Branly - Jacques-Chirac organise une exposition consacrée à Paul Robeson[29].

Discographie (sélective)

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  • 1958 : Live at Carnegie Hall (Vanguard)
  • 1972 : Ol' Man River (EMI)
  • 1987 : The Essential of Paul Robeson (Vanguard)
  • 1991 : The Power And The Glory (Legacy/Columbia)
  • 1993 : Ballad For Americans (Vanguard)
  • 1994 : Big Fella (Mis)
  • 1998 : Legendary Moscow Recital (Russian Revelation)
  • 2010 : Goin'home (Mis)
  • 2014 : The Very Best of Paul Robeson (Alto)
  • 2019 : Live at the Royal Albert Hall and A.M.E. Zion Church New York (Big Buzz Productions)

La discographie complète de Paul Robeson est disponible sur le site de la section de la Computer Professionals for Social Responsibility (en) à Chicago[30].

Filmographie

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lossy-page1-250px-Paul_Robeson_-_NARA_-_559205.tif.jpgPaul Robeson peint par Betsy Graves Reyneau, dans la collection de la National Archives and Records Administration.
  • 1925 : Body and Soul
  • 1926 : Camille court métrage de Ralph Barton : Alexandre Dumas (fils)
  • 1930 : Borderline
  • 1933 : The Emperor Jones
  • 1935 : Sanders of the River
  • 1936 : Show Boat
  • 1936 : Song of Freedom
  • 1937 : Big Fella
  • 1937 : Les Mines du roi Salomon
  • 1937 : Jericho de Thornton Freeland (1937)
  • 1940 :The Proud Valley (en)
  • 1942 :Native Land
  • 1942 : Six destins

Notes et références

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  1. « http://pid.emory.edu/ark:/25593/cr3f0 », sous le nom Paul Robeson collection from the Billops-Hatch Archives, 1917-1965
  2. « http://www2.scc.rutgers.edu/ead/uarchives/robesonf.html »
  3. « https://archives.nypl.org/scm/20649 » (consulté le 23 juillet 2024)
  4. (en-US) « Paul Robeson », sur www.encyclopedia.com (consulté le 1er juillet 2019).
  5. (en-US) « Paul Robeson Biography », sur www.notablebiographies.com (consulté le 1er juillet 2019).
  6. (en-US) Craig Turpin, « How a Somerville H.S. graduate used fame to fight injustice », sur www.nj.com, 25 février 2016 (consulté le 31 décembre 2019).
  7. (en) « Paul Robeson | American singer, actor, and political activist », sur Encyclopedia Britannica (consulté le 1er juillet 2019).
  8. (en-US) Gilbert King, « What Paul Robeson Said », sur Smithsonian Magazine (consulté le 31 décembre 2019).
  9. (en-US) « Paul Robeson (1898-1976) », sur BlackPast, 19 janvier 2007 (consulté le 1er juillet 2019).
  10. (en-GB) « A Tribute to Paul Robeson | SOAS University of London », sur www.soas.ac.uk (consulté le 31 décembre 2019).
  11. (en-US) « PAUL ROBESON, a brief biography », sur www.cpsr.cs.uchicago.edu (consulté le 1er juillet 2019).
  12. (en) « Paul Robeson », sur Spartacus Educational (consulté le 1er juillet 2019).
  13. (en-US) « Paul Robeson », sur Biography (consulté le 1er juillet 2019).
  14. (en-US) « Thoughts on Winning the Stalin Peace Prize », sur www.marxists.org (consulté le 31 décembre 2019).
  15. (en-US) « Paul Robeson, athlete, actor, singer, and activist », sur African American Registry (consulté le 1er juillet 2019).
  16. (en-US) Tony Pecinovsky, « Paul Robeson fought Jim Crow, lynching, and McCarthyism », sur People's World, 26 février 2016 (consulté le 31 décembre 2019).
  17. (en-US) Alden Whitman, « Paul Robeson Dead at 77; Singer, Actor and Activist », The New York Times,‎ 24 janvier 1976 (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le 1er juillet 2019).
  18. (en-US) « Paul Robeson », sur Find a grave.
  19. (en-US) « Welcome to the Civil Rights Digital Library », sur crdl.usg.edu (consulté le 31 décembre 2019).
  20. (en-US) James Kirchick, « Paul Robeson was an unrepentant Stalinist. Rutgers should acknowledge that », The Washington Post,‎ 20 février 2019 (lire en ligne).
  21. (en) minervasperch, « Paul Robeson receives the Stalin Peace Prize », sur MINERVA’S PERCH, 28 mars 2019 (consulté le 31 décembre 2019).
  22. « Paul Robeson | Hollywood Walk of Fame », sur www.walkoffame.com (consulté le 31 décembre 2019).
  23. (en-US) « AWARDS », sur actorsequityfdn (consulté le 31 décembre 2019).
  24. (en) « Actors' Equity Awards », sur www.actorsequity.org (consulté le 31 décembre 2019).
  25. (en) « Hall of Fame », sur Somerville High School (consulté le 31 décembre 2019).
  26. (en-US) rvcc_super, « Paul Robeson Institute », sur Raritan Valley Community College, 14 mars 2016 (consulté le 31 décembre 2019).
  27. (en-US) « Paul Robeson Leadership Institute | Student Support Services », sur sss.rutgers.edu (consulté le 31 décembre 2019).
  28. (en-GB) « Paul Robeson House, Postgraduate Accommodation, SOAS University of London », sur www.soas.ac.uk (consulté le 31 décembre 2019).
  29. « Paul Robeson (1898-1976) », sur www.quaibranly.fr (consulté le 31 décembre 2019).
  30. (en-US) « Paul Robeson Discography », sur www.cpsr.cs.uchicago.edu (consulté le 31 décembre 2019).

Voir aussi

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Articles connexes

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  • Afro-Américains
  • Lois Jim Crow
  • Ségrégation raciale aux États-Unis
  • Mouvements américain des droits civiques
  • Mouvement afro-américain des droits civiques
  • Paul Robeson: Tribute to an Artist

Médiagraphie

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Bibliographie

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  • (en) Ron Ramdin, Paul Robeson : The Man And His Mission, Peter Owen, 8 août 1992, 228 p. (ISBN 978-0-7206-0684-3)
  • (en) Martin Duberman, Paul Robeson, The New Press, 1er mai 1995, 880 p. (ISBN 978-1-56584-288-5)
  • (en) Lindsey R. Swindall, Paul Robeson : A Life of Activism and Art, Rowman & Littlefield, (15 septembre 2015, 212 p. (ISBN 978-1-4422-0794-3, lire en ligne)
  • (en) Shirley Graham, Paul Robeson Citi of the World, Palala Press, 6 mai 2016, 296 p. (ISBN 978-1-355-74110-7)
  • (en) Susan Robeson, Grandpa Stops a War : A Paul Robeson story, Triangle Square, 22 janvier 2019, 48 p. (ISBN 978-1-60980-882-2)

Liens externes

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