Catalogue - page 20

Affiche du document Droit international public de l’environnement

Droit international public de l’environnement

Twison Fimpa Tuwizana

2h21min45

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189 pages. Temps de lecture estimé 2h22min.
Cet ouvrage examine les modalités d’application des instruments juridiques internationaux pour la protection de l’environnement et des droits de l’homme dans les pays en développement (PED), dont la République Démocratique du Congo.  Selon l’auteur, l’efficacité des instruments juridiques internationaux de protection de l’environnement, des droits de l’homme et une gouvernance durable ne se basent pas uniquement sur les règles juridiques internationales de gestion des ressources naturelles, forestières et du développement durable. Il propose d’intégrer les aspects socioculturels et éthiques.  Pour lui, la transposition des instruments juridiques internationaux en République Démocratique du Congo a donné des résultats mitigés. Il préconise leur harmonisation avec les pratiques et lescoutumes locales au niveau de l’élaboration, de la mise en œuvre et de la vulgarisation par les nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (TIC). Le volume 3 met l’accent sur le cadre de participation locale au programme REDD+ (Réduction des Emissions liées à la Déforestation et à la Dégradation des Forêts, et incluant la conservation, la gestion forestière durable et l’accroissement des stocks de carbone), les modalités concrètes de sa mise en œuvre etl’évaluation environnementale des plans, des programmes et des projets en R.D. Congo.
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Affiche du document Droit international public de l’environnement

Droit international public de l’environnement

Twison Fimpa Tuwizana

2h54min45

  • Ecologie
  • Youscribe plus
233 pages. Temps de lecture estimé 2h55min.
Cet ouvrage examine les modalités d’application des instruments juridiques internationaux pour la protection de l’environnement et des droits de l’homme dans les pays en développement (PED), dont la République Démocratique du Congo.  Selon l’auteur, l’efficacité des instruments juridiques internationaux de protection de l’environnement, des droits de l’homme et une gouvernance durable ne se basent pas uniquement sur les règles juridiques internationales de gestion des ressources naturelles, forestières et du développement durable. Il propose d’intégrer les aspects socioculturels et éthiques.Pour lui, la transposition des instruments juridiques internationaux en République Démocratique du Congo a donné des résultats mitigés. Il préconise leur harmonisation avec les pratiques et les coutumes locales au niveau de l’élaboration, de la mise en œuvre et de la vulgarisation par les nouvelles Technologies de l’Information et de Communication (TIC).Le Volume 2 porte sur le recours aux droits de l’homme d’une troisième génération pour une protection de l’environnement, la responsabilité internationale pour dommages transfrontières, la Convention sur la diversité biologique (1992), la stratégie de la mise en œuvre, les opportunités et les limites du volet participatif du mécanisme du programme REDD+ (Réduction des Emissions liées à la Déforestation et à la Dégradation des Forêts, et incluant la conservation, la gestion forestière durable et l’accroissement des stocks de carbone).
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Affiche du document Le cacao, les défis nationaux d’une filière stratégique dans la lutte contre la pauvreté en Afrique de l’Ouest

Le cacao, les défis nationaux d’une filière stratégique dans la lutte contre la pauvreté en Afrique de l’Ouest

Kouakou Ahossi KONAN

5h57min45

  • Ecologie
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477 pages. Temps de lecture estimé 5h58min.
Le cacao représente à ce jour pour de nombreux pays africains la principale source de devise. Selon la Food and Agriculture Organization (FAO - 2021), l’Afrique de l’Ouest produit et exporte 65% des fèves de cacao dans le monde. Dans cette région, la Côte d’Ivoire et le Ghana fournissent 50% de l’offre mondiale, avec 40% de part pour la Côte d’Ivoire. Pilier de l’économie ivoirienne, le cacao procure à ce pays 30% des recettes d’exportation. Cette prouesse repose sur plusieurs facteurs entre autres un engagement considérable de la recherche scientifique qui promeut de nouvelles variétés et itinéraires techniques qui produisent une dynamique de l’activité.  Cependant les récents constats font état d’une déforestation dont l’un des principaux facteurs est le cacao ivoirien. En d’autres termes le cacao ivoirien dans sa configuration est source de déforestation du fait du refus d’un basculement vers une cacaoculture durable, plus responsable et respectueuse des normes environnementales. Ce cacao classique fait fi  des risques climatiques. Ainsi, il apparaît plus que nécessaire que les encadrements à l’endroit des paysans s’inscrivent dans une telle initiative afin d’aboutir à une cacaoculture durable sur toute l’étendue du territoire national.
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