Le réalisateur équatorien signe ici un film à la structure narrative complexe et soignée. (Les Fiches du cinéma)
Pour son premier long métrage de fiction, tourné avec panache, le cinéaste dépense une belle énergie punk (au début, surtout). Il fait de ses histoires croisées une mosaïque, qu'il recompose par un montage fluide. (Télérama)
Peu de films équatoriens parviennent jusqu’à nous. Cette rareté est hélas la seule vertu de "Sans automne, sans printemps" qui, sous prétexte de portrait de jeunesse désenchantée et de « ballade punk », livre un récit choral bourré d’afféteries et ivre de lui-même. (Le Monde)
x Cacher la playlist
Commandes | > | x |
---|---|---|