Le maire de Lyon, Paul Théraneau, va mal. Il n’a plus une seule idée. Après trente ans de vie politique, il se sent complètement vide. Pour remédier à ce problème, on décide de lui adjoindre une jeune et brillante philosophe, Alice Heimann. Un dialogue se noue, qui rapproche Alice et le maire, et ébranle leurs certitudes...
2020
César : César de la meilleure actrice (Anaïs Demoustier)
2019
Festival de Cannes - Quinzaines des réalisateurs : Label Europa Cinema
Nommé pour le Prix Fipresci
Nommé pour le Prix SACD
Nommé pour le Prix Illy
[C]e qui fait véritablement [la force du film] (…) c’est bien la façon dont ces idées sont mises en scène : comme un ballet, sur une scène concrète et en plein jour, un terrain où la parole, donc, rejoint l’action. Les Inrockuptibles
"Alice et le maire" est une brillante comédie sur la vanité du pouvoir et les incertitudes de la vocation, qui remet à l’heure quelques pendules éthiques et idéologiques. La mise en scène fluide, presque chorégraphique, a gagné en assurance, et le film se déploie avec un rythme virevoltant. Positif
Sous ses allures classiques, Alice et le Maire est un film d’une fausse sagesse. Deux adjectifs reviennent de manière récurrente dans le dialogue : « modeste » et « mordant », et leur accolement définit on ne peut mieux le film. Cahiers du Cinéma
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