En 2001, pendant la dernière journée du G8 de Gênes, quelques instants avant minuit, plus de 300 policiers prennent d’assaut l’école Diaz, à la recherche des militants du Black Bloc. Dans l’établissement, se trouvent quatre-vingt-dix activistes, dont la plupart sont des étudiants européens accompagnés de quelques journalistes étrangers, qui s’apprêtent à passer la nuit à même le sol de l’école. Alors que les forces de l’ordre font irruption, les jeunes manifestants lèvent les mains pour se rendre. Imperturbables et implacables, les policiers se livrent à des exactions préméditées d’une violence inouïe, frappant indifféremment jeunes et vieux, hommes et femmes.
Par la grâce d'une mise en scène immersive, le réalisateur réussit, comme dans les meilleurs Costas-Gravas, à bousculer les consciences endormies. Première
Manifeste indispensable, "Diaz" remplace le (vrai) procès qui n'aura jamais lieu. Télérama
Imparfait et un peu grossier, "Diaz" est servi par une tripotée de comédiens européens tous très convaincants dans leurs rôles. Et les moments chocs, sont impressionnants, très impressionnants. Ecran Large
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