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4 novembre 1995. Yitzhak Rabin, Premier ministre israélien, l’homme des accords d’Oslo et Prix Nobel de la paix, est assassiné sur la place des Rois d’Israël à Tel Aviv après un long discours pour la réconciliation. Son assassin : un étudiant juif religieux d’extrême droite. Vingt ans après, le cinéaste Amos Gitaï revient sur cet événement traumatisant avec un nouvel éclairage. Replaçant l’assassinat dans son contexte politique et sociétal, Le dernier jour d’Yitzhak Rabin mêle reconstitutions fictives et images d’archives afin de nous offrir un véritable thriller politique.
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Mostra de Venise : Nommé pour le "Lion d'Or"
Nommé pour le Prix du Meilleur scénario
Si ce film de combat qu’a réalisé Amos Gitaï sidère et convainc autant, c’est qu’il procède d’une mise en œuvre experte de tous les moyens que le cinéma peut offrir. C’est à la fois éblouissant et terrifiant. L'Obs
Entre le polar seventies et le docu-fiction, Amos Gitaï reconstitue le meurtre d'Yitzhak Rabin dans un fulgurant brûlot politique. Les Inrock
Ce film, admirablement maîtrisé, pièce majeure pour une relecture de l’histoire d’Israël, éclaire le présent, jusqu’au malaise. La Croix
"Le Dernier Jour d’Yitzhak Rabin" revient, et c’est sa première surprise, à ce que Gitaï fait de mieux depuis ses débuts : un certain art de l’insistance (…). Le retour de Gitaï à ce geste archéologique n’est pas rien, au moment de son film le plus politique de la décennie. Cahiers du Cinéma
Amos Gitaï signe une passionnante reconstitution de l’assassinat d’Yitzhak Rabin il y a vingt ans en mélangeant fiction et images d’archives. Le Journal du Dimanche
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