1961. La philosophe juive allemande Hannah Arendt est envoyée à Jérusalem par le New Yorker pour couvrir le procès d’Adolf Eichmann, responsable de la déportation de millions de juifs. Les articles qu’elle publie et sa théorie de "La banalité du mal" déclenchent une controverse sans précédent.
Son obstination et l’exigence de sa pensée se heurtent à l’incompréhension de ses proches et provoquent son isolement.
2012
Festival International du Film de Toronto : Avants premières mondiale
Il faut se réjouir qu'une aussi belle leçon de philosophie soit portée à l'écran. La Croix
Privilégiant le portrait sur la biographie, c'est à travers les multiples regards (...) qui se posent sur la célèbre philosophe que la réalisatrice restitue la personnalité fascinante d'Hannah Arendt. Le Monde
Ce film, tenu d'un bout à l'autre par la personnalité de l'actrice allemande Barbara Sukowa (...), est ambitieux et courageux. Le Parisien
[Margarethe Von Trotta] fait un portrait enthousiaste de la philosophe, (...) interprétée par la formidable Barbara Sukowa, (...) sans distance, sorte de Zorro intellectuel qui a raison contre son milieu (...). [Un] biopic passionné. Libération
Von Trotta cerne son sujet au plus près, ne dévie pas de sa ligne qui est de rendre compte du débat philosophique et politique, n'hésitant pas à laisser s'exprimer ceux qui s'opposent à ses idées, dont son vieil ami Hans Jonas, penseur israélien et sioniste. Positif
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