Lorsque Suze Trappet apprend à 43 ans qu’elle est sérieusement malade, elle décide de partir à la recherche de l'enfant qu’elle a été forcée d'abandonner quand elle avait 15 ans.
Sa quête administrative va lui faire croiser JB, quinquagénaire en plein burn out, et M. Blin, archiviste aveugle d’un enthousiasme impressionnant. À eux trois, ils se lancent dans une quête aussi spectaculaire qu’improbable.
2021
César : César du Meilleur film français de l'année
César de la Meilleure réalisation (Albert Dupontel)
César du Meilleur acteur dans un second rôle (Nicolas Marié)
César de la Meilleure photographie (Alexis Kavyrchine)
César des Meilleurs décors (Carlos Conti)
César du Meilleur scénario original (Albert Dupontel)
César des lycéens
nommé pour le César du Meilleur acteur (Albert Dupontel)
nommé pour le César de la Meilleure actrice (Virginie Efira)
nommé pour le César de la Meilleure musique écrite pour un film (Christophe Julien)
nommé pour le César du Meilleur son (Cyril Holtz, Jean Minondo, Gurwal Coïc-Gallas)
nommé pour le César des Meilleurs costumes (Mimi Lempicka)
nommé pour le César du Meilleur montage (Christophe Pinel)
Lumières de la Presse Etrangère : nommé pour le prix du meilleur film
nommé pour le Prix de la mise en scène (Albert Dupontel)
nommé pour le prix du meilleur acteur (Albert Dupontel)
nommé pour le prix de la meilleure actrice (Virginie Efira)
Albert Dupontel signe un opéra visuel magnétique et nerveux, fébrile et puissant. Le Parisien
Si depuis maintenant trois films (9 Mois ferme, 2013, Au revoir là-haut, 2017, et celui-ci), Albert Dupontel n’a pas changé son style à base de caméra exubérante et de couleur sépia, ni ses personnages paumés dans leur solitude, la facture acrobatique de ses récits – scénario compris – est de plus en plus tendue vers un regard chaleureux et social. Positif
La rencontre entre un suicidaire, une femme condamnée par la maladie et un employé aveugle dans « Adieu les cons » se révèle une merveille de drôlerie et de poésie. 20 Minutes
Film le plus émouvant de son auteur, où le punk cartoon se marie étonnamment bien avec des émotions aiguës, dont la justesse impressionne, "Adieu les cons" ne laisse pas indemne. Ecran Large
Frénétique mais ultra-maîtrisée, la mise en scène met au centre l’émotion et offre de nombreux moments de grâce, comme une scène de déclaration d’amour pilotée à distance dans un ascenseur. Beau et fou. Le Journal du Dimanche
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