2021
Festival de Cannes : Compétition
Il y a ici l’aboutissement d’un regard singulier porté par une cinéaste sur ce qui la fonde et la fait avancer. Un regard personnel et si généreux qu’il devient universel, nous renvoie à nos rêveries, nos désirs, nos choix. Et à la puissance de nos imaginaires. Bande à Part
Une subtile et orageuse réflexion sur l’amour, où plane l’ombre de Bergman. Télérama
Le film dépaysant de Mia Hansen-Love est une bulle de bonheur pour les amoureux du 7e Art. 20 Minutes
Un beau film solaire sur ce que fait le cinéma à nos vies. CinemaTeaser
Et c'est dans le débordement d'une dimension sur l'autre, dans la réconciliation d'une fougue adolescente avec une forme de maturité et d'apaisement, de deux âges et de deux désirs, que le film s'incarne pleinement. La septième Obsession
Ce n’est pas juste un décor naturel : comme Bergman, Mia Hansen-Løve fait entrer dans les pierres l es états émotionnels intérieurs de ses personnages, leur immense et tragique solitude. Le Dauphiné Libéré
Le cahier de devoirs de vacances de Mia Hansen-Love offre un programme chargé. Pourtant, quand on le referme, au bout des presque deux heures de projection de Bergman Island, c’est le goût des vacances qui reste en bouche, pas celui des devoirs. Le Monde
La réussite du film repose ici sur la mise en scène. Des premiers plans, superbes, en cinémascope, aux dernières images magiques du film, on est saisi par la beauté, l’élégance du style de la cinéaste. Les Inrockuptibles
Bouleversant sans crier gare (en un raccord, qu’on ne dévoilera pas), grâce à cette mise en scène précise et souveraine que Mia Hansen-Løve affûte de film en film, Bergman Island ne tranche pas sur la question sentimentale mais choisit clairement son camp pour le reste : celles qui comptent ce sont celles qui doutent. Libération
Mia Hansen-Løve ne se « contente » pas, ici, de dérouler une chronique intimiste et gracieuse, à fleur de peau et de visages, comme elle sait si bien le faire. Inspirée par la force des lieux, elle nous projette aussi dans une matière troublante, poreuse, aussi ludique que fantastique. Nouvelle, donc. Positif
Il règne sur ce double récit la mélancolie de ces histoires terminées qui continuent pourtant à briller comme des étoiles mortes. Ce film a la grâce. Celle de sa comédienne principale, l’éblouissante Vicky Krieps. Première
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