Dans les monts des Appalaches, Kentucky de l’Est, les gens se sentent moins Américains qu’Appalachiens. Ces habitants de l’Amérique blanche rurale ont vécu le déclin économique de leur région. Aux États-Unis, on les appelle les "hillbillies" : bouseux, péquenauds des collines. The Last Hillbilly est le portrait d’une famille à travers les mots de l’un d’entre eux, témoin surprenant d’un monde en train de disparaître et dont il se fait le poète...
Porté par le charisme d’un patriarche poète de l’est du Kentucky, son personnage principal érigé en coauteur, le documentaire-portrait signé par deux Français se penche avec un doux lyrisme sur un monde en déclin. Libération
The Last Hillbilly a la poésie du film d’horreur, hallucinant dans les décombres du présent les signes de quelque malédiction. Cahiers du Cinéma
Pas sûr que certains effets musicaux ou qu’une complaisance dans le glauque n’entérinent pas justement certains clichés, mais le tout reste une fresque impressionnante de l’Amérique profonde. CinemaTeaser
Ces humbles sont des laissés-pour-compte, ils mènent une vie simple et rude, que Brian poétise, lui qui se dit lucidement « le dernier enfant libre d’Amérique ». Le Dauphiné Libéré
Un documentaire fascinant où le père de famille, comme échappé d’une fiction, se raconte dans une langue à la fois rêche et lyrique qui semble épouser les contours des rudes paysages du Kentucky. Cette étonnante poésie se fond dans l’atmosphère inquiétante dont les réalisateurs parent leur film, avec un beau travail sur le son. Le Journal du Dimanche
Les scènes du quotidien s'assemblent par éclats comme des flots de souvenir. Le Monde
Ce portrait-reportage d’un hillbilly (un péquenaud) du Kentucky est un voyage poétique, haut en couleur, fort en sentiments. Le Nouvel Observateur
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