Y., cinéaste israélien, arrive dans un village reculé au bout du désert pour la projection de l’un de ses films.
Il y rencontre Yahalom, une fonctionnaire du ministère de la culture, et se jette désespérément dans deux combats perdus : l’un contre la mort de la liberté dans son pays, l’autre contre la mort de sa mère.
2021
Festival de Cannes : Prix du Jury (Nadav Lapid)
Nommé pour le Prix du scénario (Nadav Lapid)
Nommé pour le Prix Cannes Soundtrack (Nadav Lapid)
Nommé pour la Palme d'Or (Nadav Lapid)
Nommé pour le Prix Oecuménique (Nadav Lapid)
Nommé pour le Prix Fipresci (Nadav Lapid)
Nommé pour le Grand Prix (Nadav Lapid)
Nommé pour le Prix de la mise en scène (Nadav Lapid)
Nommé pour le Prix François Chalais (Nadav Lapid)
Nommé pour le Prix de la Citoyenneté (Nadav Lapid)
Nommé pour le Prix du Cinéma Positif (Nadav Lapid)
Sujet à controverse en Israël, cet opus théorique et viscéral explore la difficulté à dire sa colère dans une démocratie souillée. L'Humanité
Le cinéma de Lapid malmène le spectateur pour l’emmener dans des zones troubles où il est confronté à l’état du monde mais également à sa propre vérité, sa propre ambivalence. Transfuge
Tendu, tortueux, exigeant, ce dernier film est intensément révélateur du malaise que traverse la société israélienne d’aujourd’hui. 20 Minutes
A l'absence d'un film irréalisable, dont il s'approprie le titre, Le Genou d'Ahed substitue sa présence mat et paradoxalement muette. Loin des indignations consensuelles, Nadav Lapid touche ici aux limites de la colère, à son point d'idiotie, et à son essentielle énergie. Cahiers du Cinéma
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