Un couple âgé vit dans un appartement parisien submergé de livres et de souvenirs. Lui est cinéphile, historien et théoricien du cinéma qui écrit un ouvrage sur les liens entre le 7e art et les rêves. Elle, psychanalyste à la retraite, est atteinte de la maladie d'Alzheimer.
Amoureux et indispensables l'un à l'autre, ils vont vivre leurs derniers jours.
2021
Festival de Cannes : en sélection Cannes Première
Festival du Film de Locarno : nommé pour le prix Variety Piazza Grande (Gaspar Noé)
Festival du Film de San Sebastian (Espagne) : Prix Zabaltegi-Tabakalera (Gaspar Noé)
Jusqu’au bout, l’inventivité de l’image met en scène la mort prochaine. Vortex transforme l’absence en tableaux contemporains. Une expérience sensorielle, totale. Le Monde
Du plus trivial naît une forme de grandiose, dans une mise en scène épurée et brillantissime, qui partage souvent l’écran en deux, elle, d’un côté, lui, de l’autre. Le Parisien
Ce parti pris peut désarçonner de prime abord, surtout quand on aime le réalisateur pour son côté sale gosse, explosif et parfois éprouvant (Climax), mais le film finit, comme le Vortex du titre le suggère, par aspirer le regard. L'Humanité
Gaspar Noé signe avec « Vortex » un film poignant très éloigné de son ton provocateur habituel. 20 Minutes
Gaspar Noé a-t-il jamais filmé autre chose que la mort au travail ou, du moins, la mise en spectacle de la menace perpétuelle qu’elle fait planer sur tout ? La lourdeur du programme se raffine ici par la mise en scène enfin incarnée de cette précision : la mort à l’ouvrage n’a d’autre nom que la vie. Cahiers du Cinéma
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