Le couple, l’amour et la vie de famille sont de bien belles aventures que vivent José et Lucie. Jusqu’au jour où l’ennui s’installe. Lucie consulte alors un psy pour sauver leur couple. De son côté, José vient me voir, moi, Jean-Claude, leur voisin. Ensemble, nous lançons une nouvelle thérapie. Trinquer, danser et jouer au meurtrier tous les jeudis : la nouvelle recette du bonheur !
Le propos de Petite fleur est transparent : la libido, ferment de l’amour comme de la création artistique, ne peut survivre sans charrier avec elle une part de violence. Son objet n’est pas d’en faire la démonstration, mais plutôt d’en tirer une expérience cathartique, en s’inspirant à la fois des comédies de remariage et des dessins animés de Tex Avery. Cahiers du Cinéma
Une dinguerie décapante, portée par une savoureuse brochette d'acteurs. Elle
Après le mélo militant El estudiante et le thriller psycho-politique El presidente, le réalisateur argentin Santiago Mitre s’essaie à la comédie romantique décalée. Il revisite le genre à l’aune de ses visions burlesques. Son univers, baigné d’étrangeté et d’une pointe de fantastique morbide, fait de Petite fleur un film singulier, diablement séduisant. Le Figaro
La réalisation est impeccable, et l’interprétation, très fine. Mention spéciale pour le ressuscité Melvil Poupaud. Le Nouvel Observateur
Une fable noire et saignante sur le couple. Télérama
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