André Polonski, pianiste virtuose, et Mika Muller, PDG des chocolats Muller, se sont mariés à Lausanne. Auparavant, André a épousé Lisbeth dont il a eu un fils, Guillaume. Le jour de ses six ans, alors qu'ils étaient de passage en Suisse chez Mika, Lisbeth s'est tuée dans un accident de voiture. La jeune Jeanne Pollet, qui prépare le concours de piano de Budapest, apprend qu'elle aurait été échangée le jour de sa naissance avec Guillaume. L'infirmière aurait interverti les bracelets des deux bébés. A la recherche de ses origines et d'un mentor, l'ambitieuse débutante tente de s'approcher du maître. Cette intrusion va ébranler l'édifice familial.
Merci pour le chocolat fait partie de ces films qu´il faut voir plusieurs fois. Sans doute pour multiplier son plaisir mais aussi pour aiguiser son regard et savourer le génie de son auteur. Le Monde
(...) Merci pour le chocolat est un must, une épure suisse démarquée d'un roman américain de Charlotte Armstrong que le cinéaste et sa coscénariste psy, Caroline Eliacheff, ont élagué, nettoyé, asséché (...) Libération
Avec Merci pour le chocolat, on retrouve Chabrol au meilleur de sa forme, témoignant d'une vigueur de mise en scène qu'on ne lui connaissait plus depuis La cérémonie. Positif
Merci pour la mise en scène donc, et pour tous ces détails incongrus sur lesquels le cinéaste se garde bien de s'attarder, mais qu'on ne peut s'empêcher d'ausculter avidement comme autant d'indices, de prémices… Télérama
(...) un bijou expérimental drapé dans l'élégance du classicisme. Les Inrockuptibles
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