Sascha est travailleuse du sexe dans une maison close de Berlin. Les clients en manque d’amour se succèdent, inlassablement. Mais sa rencontre passionnée avec Maria, une nouvelle venue indépendante et anticonformiste, va réapprendre à Sascha qu’elle aussi a besoin d’aimer.
2021
Berlinale : nommé Teddy Award du Meilleur film
L’enjeu est avant tout de décrire une situation romantique, paradoxale et plausible : deux prostituées hétéros qui deviennent lesbiennes. Une manière de reléguer le patriarcat à un statut presque fonctionnel (on montre sans fard la pauvreté et la réalité des fantasmes masculins), de mettre en avant la féminité actuelle en envisageant un féminisme actif, ancré dans le concret, avec un soupçon de provocation. L'Humanité
Le sujet est rebattu et pourtant Seule la joie raconte quelque chose de neuf. Est-ce que cela tient à la mise en scène de la cinéaste Henrika Kull ? Au jeu lumineux des actrices ? À la crudité quasi documentaire des scènes de la vie quotidienne au bordel ? Peut-être est-ce un peu tout cela à la fois. Transfuge
À la fois chronique sociale sur l’univers allemand de la prostitution, et romance amoureuse entre deux femmes, Seule la joie est un hymne délicat à la féminité. aVoir-aLire.com
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