En 1977. Stella entre en sixième...
1985, premier été sans les parents. Le soleil, les copines, les Italiens, le rêve.
Puis retour à la réalité, car pour Stella, c'est l'année du bac. Et même si elle dit qu'elle s'en fout, elle sait bien que ça peut décider de sa vie entière...
Plutôt mourir que de reprendre le bar de ses parents. Surtout que, chez elle, son père s'est cassé avec une autre, en laissant les dettes et sa mère en déprime.
Heureusement, il y a les sorties, la nuit, les rencontres, et puis l'amour pour rêver d'un autre monde.
Un très beau film, véritable ode aux années 80, et la bande-son est à tomber. Elle
Regards dans le vague et sensualité balbutiante, la jeune Flavie Delangle est étonnante. L'Obs
Un récit bien incarné et emballant qui possède un charme fou. Le Journal Du Dimanche
Quatorze ans après «Stella», Sylvie Verheyde livre une belle suite autobiographique où l’héroïne, désormais lycéenne, aime et danse pour échapper à son statut de transfuge sociale. Libération
Le film (osons les mots) allège cœurs et corps, remplit, réjouit, procure mille émotions à la minute, rend nostalgique et novice. Vivant. Première
Avec beaucoup d’intelligence, la cinéaste évite tous les poncifs du film sur la fête (addiction à l’alcool et aux drogues) pour ne garder que la vitalité du sentiment de son héroïne et l’irrésistible ivresse que procure la vie nocturne. Et si le film parle d’amour, c’est pour mieux raconter l’émancipation de Stella qui, bien qu’amoureuse, n’en perd pas totalement sa lucidité ni son indépendance. Les Inrockuptibles
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