Deux conversations en alternance à Séoul : une ancienne actrice est sollicitée par une débutante tandis qu’un vieux poète reçoit un admirateur.
Les deux vedettes esquivent les questions existentielles de leur interlocuteur, la première songe à sa récente reconversion et le second bataille avec son sevrage d’alcool et de tabac.
Radicalisation du manque, extension du minimalisme : le haïku comme modèle poétique qui donne forme au plan perce à l’horizon. Faire le vide, en faire moins pour chercher le monde et en dire le plus. Cahiers du Cinéma
Jouer à chifoumi, observer une plante grandir, savourer seul une cigarette en buvant un verre de whisky... De nos jours est plus que jamais attentif aux infinitésimaux ravissements de la vie. Depuis deux films donc, HSS nous dit qu’il ne voit plus rien (le flou d’In Water), et pourquoi il ne voit plus rien (l’impossibilité à arrêter ce qui l’empoisonne). Bouleversant, et sublime. Les Inrockuptibles
Marqué par la sobriété nouvelle du cinéaste sud-coréen Hong Sang-soo, ce trentième film faussement simple sur l’addiction excelle dans l’art du malaise et de la désinhibition. Libération
Finalement, personne ne fait ce qu’il dit, ni se sait vraiment ce qu’il fait. Pourtant, ce double conte moral brille d’une sagesse paradoxale et procure une sérénité enviable. Télérama
On ne va pas rater ça. Le soju, carburant essentiel au cinéma du Coréen, revient dans la boucle. Quel bonheur ! Le Figaro
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