Le commandant d’Auschwitz, Rudolf Höss, et sa femme Hedwig s’efforcent de construire une vie de rêve pour leur famille dans une maison avec jardin à côté du camp.
2025
Césars : César du Meilleur film étranger (Jonathan Glazer)
2024
Oscars : Oscar du Meilleur film international (Jonathan Glazer)
Oscar du Meilleur son (Tarn Willers, Johnnie Burn)
nommé Meilleur film (James Wilson)
nommé Meilleur réalisateur (Jonathan Glazer)
nommé Meilleur scénario adapté (Jonathan Glazer)
BAFTA Awards : Bafta du Meilleur film britannique (Jonathan Glazer)
Bafta du Meilleur son (Tarn Willers, Johnnie Burn)
Bafta du Meilleur film non anglophone (Jonathan Glazer)
nommé Meilleur réalisateur (Jonathan Glazer)
nommé Meilleure actrice dans un second rôle (Sandra Hüller)
nommé Meilleur scénario adapté (Jonathan Glazer)
nommé Meilleure photographie (Lukasz Zal)
nommé Meilleur montage (Paul Watts)
nommé Meilleurs décors (Chris Oddy, Joanna Kus, Katarzyna Sikora)
2023
Festival de Cannes : Grand Prix (Jonathan Glazer)
Prix FIPRESCI (Jonathan Glazer)
Golden Globes : Nommé Meilleure musique de film (Mica Levi)
Nommé Meilleur film dramatique
Nommé Meilleur film en langue étrangère
European Film Awards : Prix du Meilleur son (Tarn Willers, Johnnie Burn)
Nommé Meilleur film (Jonathan Glazer)
Nommé Meilleur réalisateur (Jonathan Glazer)
Nommé Meilleur acteur (Christian Friedel)
Nommé Meilleure actrice (Sandra Hüller)
Nommé Meilleur scénariste (Jonathan Glazer)
Un chef-d'œuvre d'une puissance narrative et formelle inouïe qui provoque la sidération. Le Journal du Dimanche
On en sort terrassé par cette succession de séquences puissantes, dont quelques parenthèses d’un onirisme crépusculaire, qui disent la banalité du mal absolu et le choc d’un trauma encore enfoui. La Voix du Nord
Le Britannique Jonathan Glazer signe un chef-d’œuvre obsédant sur la banalité du mal : l'horreur génocidaire à quelques mètres d'une vie tranquille bucolique. Le Dauphiné Libéré
Atroce, certes, éprouvant, sans aucun doute, exceptionnel et marquant, assurément… Un film immense. Le Parisien
Plutôt que de filmer la banalité du mal, Jonathan Glazer raconte la banalité de qu’on en fait. Ce qu’on a échoué à en faire par le passé, ce qu’on ne manquera pas à échouer d’en faire dans le futur, puisque l’histoire du film sur la Shoah ne fait que commencer. Libération
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