1967, pendant le Mardi gras.
Françoise, pensionnaire d’un lycée catholique, fait un cauchemar où elle se voit brulée vive.
Persuadée qu’il ne lui reste qu’une seule nuit avant sa mort, elle fait le mur avec son amie Delphine pour vivre cette nuit comme si c’était la dernière.
La Morsure façonne son imaginaire avec une richesse poétique et mélancolique rares, et un sous-texte pénétrant sur la fuite du temps. Culturopoing.com
Maîtrisé et vulnérable, La Morsure est un film qui se construit, telle son héroïne, en imposant délicatement son univers et ses choix esthétiques, laissant, l’air de rien, une merveilleuse petite escarre dans le cerveau du spectateur. La Septième obsession
On admire la tenue d’un scénario qui sait jouer avec ses références sans jamais craindre l’ambiguïté ni le sérieux ; on admire de même la qualité d’une image où les lumières (...) et les cadres réussissent à distiller une atmosphère à la fois étrange et singulière. Positif
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