Santiago du Chili, aujourd’hui. Teresa, assistante sociale spécialisée dans la contraception, croit tout contrôler dans sa vie jusqu’au jour où elle apprend que sa fille de 15 ans est enceinte. Edmundo, un coiffeur de 40 ans sans ambition vit encore chez sa mère et veut s’acheter une voiture ou… renouveler le caveau familial. Mario, clarinettiste, postule à l’orchestre philharmonique mais finit dans celui des carabineros. Quant à Patricia, mère d’un jeune bébé, elle se laisse aller à la dérive, emportée par le courant de la vie. Ces habitants se croisent dans la cité en mouvement sans se voir, absorbés par le quotidien de leur propre existence. Des hommes et des femmes que seul le désir d’accomplir leur destin réunit.
Goya 2009 (meilleur film étranger en langue espagnole).
Polyphonique et minimaliste à la fois, hanté par la mort mais au fond optimiste, ce drame choral touche par ses portraits pleins d'humanité et par sa mise en scène pudique. Première
On a deviné dès les premières séquences que La Buena Vida, le titre est une antiphrase et que la vie à Santiago est tout sauf bonne. Le Monde
La caméra, à la fois allusive et pénétrante, sait faire vibrer subtilement la singularité des personnages. Une chronique urbaine juste et sensible. Le Figaro
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