Depuis son château, la petite Sophie ne peut résister à la tentation de l'interdit et ce qu'elle aime par dessus tout, c'est faire des bêtises avec son cousin Paul. Lorsque ses parents décident de rejoindre l'Amérique, Sophie est enchantée.
Un an plus tard, elle est de retour en France avec son horrible belle-mère, Madame Fichini. Mais Sophie va pouvoir compter sur l'aide de ses deux amies, les petites filles modèles, et de leur mère, Madame de Fleurville pour se sauver des griffes de cette femme.
Elle découpe des poissons rouges comme du saucisson, martyrise un écureuil et torture sa poupée, sert l'eau du chien à ses cousines dans une théière. C'est Sophie de Réan (...). Un siècle et demi plus tard, Christophe Honoré réussit ce miracle : lui donner un coup de jeune, sans rien gommer de ce qui la sépare de notre époque. Le Nouvel Observateur
Honoré trouve dans ces Malheurs de Sophie la plus juste formulation du motif qui obsède depuis toujours son cinéma : le deuil, la disparition, cette déchirure irréparable qui hantait "Les Chansons d’amour" et "Homme au bain." Les Inrocktuptibles
Au final, ces "Malheurs de Sophie" sont vraiment réjouissants. Ouest France
De bout en bout s'exprime l'envie d'entraîner personnages et spectateurs dans une ronde, souvent en musique. Et ça marche : ces "Malheurs de Sophie" ont un air de fête. Télérama
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