Film étrange et dérangeant, Chien s’achève sur un monologue où ne comptent plus que la contemplation de la nature et le don de soi, inconditionnel. Cette métamorphose à la Kafka est devenue douce. Mais tout aussi effrayante… Télérama
Samuel Benchetrit poursuit sa veine absurde et métaphysique à travers l’histoire d’un homme réduit à la condition canine. Le Monde
C’est parfois glauque, lent et dérangeant mais, avec son regard de cocker battu, Vincent Macaigne est parfait face à son maître-chien barré (Bouli Lanners). Le Journal du Dimanche
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