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Fritzi Massry photographiée par Nicola Perscheid.
Autres informations| Tessiture |
Soprano |
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| Distinction |
Commandeure de l'ordre du Mérite de la République fédérale d'Allemagne |
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Fritzi Massary, née Friederike Massaryk le 21 mars 1882 à Vienne et morte le 30 janvier 1969 (à 86 ans) à Beverly Hills, est une chanteuse et actrice autrichienne[1].
Biographie
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Fritzi Massary fut l'une des principales chanteuses d'opérette à Vienne et Berlin : en 1912, sa popularité était telle qu'on parlait simplement de « die Massary » (la Massary)[1]. Comptant parmi les divas de sa génération, elle était étroitement liée à Oscar Straus, participant à la création de six de ses opérettes, dont Der letzte Walzer (en) en 1920. Elle apparut aussi dans des opérettes de Franz Lehár et Leo Fall.
Malgré sa conversion au protestantisme en 1903, Fritzi Massary fuit l'Allemagne fin 1932 à cause de ses origines juives[1]. Elle passa par l'Autriche, la Suisse et le Royaume-Uni, où elle se lia d'amitié avec Noël Coward (elle figura en 1938 dans l'une de ses opérettes). L'année suivante[2], elle s'installe à Beverly Hills avec sa fille Lisl et son beau-fils Bruno Franck. Elle y retrouvre d'autres exilés comme Elisabeth Bergner, Fritz Korner ou Max Reinhardt dans ce qui est appelé le "Nouveau Weimar”[1]. Elle y réside jusqu'à sa mort.
Photos
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Fritzi Massary en 1914
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Fritzi Massry et Joseph Giampetro en 1913 dans l'opérette Maxim au Metropol-Theater de Berlin
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Fritzi Massary en 1929
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Fritzi Massary photographiée par Carl van Vechten
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Fritzi Massary en 1909
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Fritzi Massary en 1913 dans Il ritorno d’Ulisse in patria (Die Heimkehr des Odysseus)
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Fritzi Massary photographiée par Nicola Perscheid
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Fritzi Massary photographiée par Nicola Perscheid
Filmographie
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- 1912 : Viola
- 1915 : Der Tunnel de William Wauer
- 1919 : Die Rose von Stambul (en) de Felix Basch et Arthur Wellin (en)
- 1919 : Narrentanz der Liebe
Bibliographie
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- Oscar Bie : Fritzi Massary. Erich Reiß, Berlin 1920 (Herbert Ihering] (Hrsg.): Der Schauspieler. Eine Monographiensammlung. Band 7.).
- Otto Schneidereit : Fritzi Massary. Versuch eines Porträts. Lied der Zeit, Berlin 1970 (sans ISBN).
- Carola Stern : Die Sache, die man Liebe nennt. Das Leben der Fritzi Massary. Rowohlt, Berlin 1998 (ISBN 3-87134-359-5).
- Klaus Thiel, 'Dann lass' ich's mir besorgen nur, von dem Freund aus Singapur': Fritzi Massary, die diva assoluta der erotisierten Operette, in: Kevin Clarke (Hg.): Glitter and be Gay: Die authentische Operette und ihre schwulen Verehrer. Männerschwarm, Hamburg 2007, S. 97-106 (ISBN 978-3-939542-13-1).
- Walter Kleindel: Das große Buch der Österreicher, Kremayr und Scheriau, Wien 1987, S. 325 (ISBN 3-218-00455-1).
Liens externes
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Notes et références
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- ↑ a b c et d (en) « Fritzi Massary », sur Jewish Women's Archive (consulté le 25 janvier 2025)
- ↑ Ou en 1933, Aeiou Encyclopedia (en) : sur le site austria-forum.org
Sources de la traduction
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- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Fritzi Massary » (voir la liste des auteurs).
- (de) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en allemand intitulé « Fritzi Massary » (voir la liste des auteurs).
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