Michel Audiard

Michel Audiard

Michel Audiard
Michel Audiard en 1952, photo d'identité (Sacem).
Biographie
Naissance
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14e arrondissement de ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 65 ans)
DourdanVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Cimetière de MontrougeVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Paul Michel AudiardVoir et modifier les données sur Wikidata
Surnom
G. C. AlmidanVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Journaliste, écrivain, acteur, dialoguiste, réalisateur de cinéma, scénariste, réalisateurVoir et modifier les données sur Wikidata
Période d'activité
-Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
François Audiard (d)
Jacques AudiardVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Distinctions
Liste détaillée
Prix Courteline ()
Chevalier de la Légion d'honneur‎ ()
Prix des Quatre jurys ()
Prix Jean-Le-Duc (Garde à vue) ()
César du meilleur scénario original ou adaptation (Garde à vue) ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Œuvres principales
Les Tontons flingueurs (), Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais… elle cause ! (), Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages (), Comment réussir quand on est con et pleurnichard (), Garde à vue ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture de Michel Audiard au cimetière de Montrouge.
Wikipedia
Michel Audiard
330px-Identite-MichelAudiard-1952-Sacem.png
Michel Audiard en 1952, photo d'identité (Sacem).
Biographie
Naissance
15 mai 1920Voir et modifier les données sur Wikidata
14e arrondissement de ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
28 juillet 1985Voir et modifier les données sur Wikidata (à 65 ans)
DourdanVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Cimetière de MontrougeVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Paul Michel AudiardVoir et modifier les données sur Wikidata
Surnom
G. C. AlmidanVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Journaliste, écrivain, acteur, dialoguiste, réalisateur de cinéma, scénariste, réalisateurVoir et modifier les données sur Wikidata
Période d'activité
1949-1985Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
François Audiard (d)
Jacques AudiardVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Distinctions
Liste détaillée
Prix Courteline (1974)
Chevalier de la Légion d'honneur‎ (1976)
Prix des Quatre jurys (1978)
Prix Jean-Le-Duc (Garde à vue) (1981)
César du meilleur scénario original ou adaptation (Garde à vue) (1982)Voir et modifier les données sur Wikidata
Œuvres principales
Les Tontons flingueurs (1963), Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais… elle cause ! (1970), Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages (1968), Comment réussir quand on est con et pleurnichard (1974), Garde à vue (1981)Voir et modifier les données sur Wikidata
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Sépulture de Michel Audiard au cimetière de Montrouge.

Michel Audiard, né le 15 mai 1920 à Paris dans le 14e arrondissement[1], mort le 28 juillet 1985 à Dourdan (Essonne), est un dialoguiste, scénariste et réalisateur français de cinéma, également écrivain et chroniqueur de presse[2].

S'inspirant de la gouaille du peuple parisien, les dialogues de Michel Audiard constituent l'un des meilleurs témoignages de l'irrévérence détachée propre aux années 1960. Parfois qualifié d'anarchiste de droite[3], un des seuls regrets qu'on lui connaisse[4] est de ne pas avoir eu le temps d'adapter à l'écran le Voyage au bout de la nuit de Louis-Ferdinand Céline.

Il est le père du scénariste et réalisateur Jacques Audiard[5].

Biographie

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Jeunesse

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Paul Michel naît en 1920 au 2 rue Brézin à Paris dans le 14e arrondissement « de père et mère non dénommés ». Il est reconnu en 1924 par Juliette Audiard[1].

Il est élevé par son parrain. Il poursuit sans grand intérêt des études qui le mènent jusqu'au certificat d’études et à un CAP de soudeur à l’autogène.

Passionné de littérature et de cinéma, il se forge une solide culture, lisant Rimbaud, Proust et Céline, et découvre les dialogues de Jeanson et Prévert. Passionné également de bicyclette, il traîne du côté du vélodrome d'Hiver où il rencontre André Pousse qu'il introduira au métier d’acteur. Songeant un temps à faire carrière dans le vélo, il y renonce car il « ne montait pas les côtes ».

La guerre

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Durant l'Occupation, Michel Audiard rédige des articles et des critiques dans des journaux et hebdomadaires antisémites et collaborationnistes. Par l'intermédiaire de Robert Courtine, il publie dans L'Appel, dirigé par Pierre Costantini. Le 12 août 1943, il publie un conte, Le Rescapé du Santa Maria[6], dans lequel il mobilise des clichés antisémites[7]. Le 18 mai 1944, il écrit, dans un article favorable à Luc Dietrich[8] :

Son Bonheur des tristes jaillit telle une source vive, un bain d'exquise fraîcheur, nous purifiant fort à propos des amours sophistiquées et de la poésie liquéfiante de dame Cocteau.

Le 1er juin 1944, il y écrit[9] :

[...] il est inutile d'avoir survolé la cordillère des Andes de nuit pour avoir envie de botter les fesses du petit youpin Joseph Kessel en paiement des insanes goujateries dont il a cru auréoler le souvenir du grand Mermoz.

En 1947, il est brièvement inquiété par les autorités qui ont retrouvé une fiche d'adhésion à son nom au groupe Collaboration. Il se défend d'avoir adhéré au groupe et affirme que cette inscription s'est faite à son insu[10]. En 2017, à la suite des révélations du passé collaborationniste d'Audiard, son petit-fils, Stéphane Audiard, affirme au journal Le Figaro[11] :

Si vous me permettez de défendre la mémoire de mon grand-père, je pense qu'il agit à l'époque par faiblesse, par entraînement. Il était issu d'un milieu modeste, avait dû arrêter l'école au certificat d'étude. Il va voler des vélos, devenir une sorte de petit voyou et rencontrer dans ce milieu des mecs très à droite comme Courtine. [...] Michel qui a toujours été bon en « rédac » mais qui n'a que son certificat d'études a une chance rare de sortir de son milieu. Il va la saisir sans être trop regardant. Né dans un autre temps, j'en suis sûr, anarchiste comme il était, il aurait pu écrire dans des journaux d'extrême-gauche.

Il affirme également au journal Valeurs Actuelles que Michel Audiard a fait partie du réseau de résistance Alliance à partir du mois de septembre 1943 d'après une attestation du capitaine Pierre Grolleau[12].

L'après-guerre

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Le 2 mai 1947, Michel Audiard épouse Marie-Christine Guibert, journaliste, morte le 17 janvier 2022[13]. Ils divorcent en 1972[14]. De leur union naissent deux enfants :

  • François Audiard, né en 1949, mort dans un accident de la route en 1975 ;
  • Jacques Audiard, né en 1952, réalisateur et scénariste ;
  • Bruno Meynis de Paulin, né en 1953 (fils non reconnu), qui écrit en 2004 Être le fils de Michel Audiard sous le nom de plume Bruno M.

Au lendemain de la guerre, il vivote comme livreur de journaux, ce qui lui permet d’approcher le milieu du journalisme. Il entre à l’Étoile du soir où il commence une série d'articles sur l'Asie rédigés sur des comptoirs de bistrots parisiens. La découverte de l'imposture lui valant d'être rapidement remercié, il devient alors critique de cinéma pour Cinévie.

En 1949, le réalisateur André Hunebelle le fait entrer dans le monde du cinéma en lui commandant le scénario d’un film policier, Mission à Tanger, bientôt suivi de deux autres films, de trois romans policiers, et de premiers succès d’adaptation de romans au cinéma (Garou-Garou, le passe-muraille, Les Trois Mousquetaires). Sa notoriété s’étend. En 1955, grâce à Gilles Grangier[15], il rencontre Jean Gabin, à qui il propose le scénario de Gas-oil. Ainsi commence une collaboration de sept ans et 17 films dont plusieurs grands succès (Les Grandes Familles, Les Vieux de la vieille, Le Baron de l'écluse, Un singe en hiver, Le cave se rebiffe), et qui ne s’est que peu interrompue : Babette s'en va-t-en guerre, Un taxi pour Tobrouk.

La célébrité

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250px-Bouteille_des_Tontons_flingueurs._Reconstitu%C3%A9e_%C3%A0_partir_du_film.jpgReconstitution de la fameuse bouteille d'alcool « brutal » du film Les Tontons flingueurs, lors de la scène de la cuisine.

Michel Audiard devient un scénariste populaire, ce qui lui attire les foudres des jeunes cinéastes de la Nouvelle Vague pour lesquels il symbolise le « cinéma de papa ». En 1963, après s’être un peu fâché avec Jean Gabin, il écrit pour Jean-Paul Belmondo (Cent mille dollars au soleil d'Henri Verneuil) et toute une équipe d’acteurs talentueux dont Michel Serrault, Lino Ventura, Francis Blanche, Bernard Blier, Jean Lefebvre (Les Tontons flingueurs et Les Barbouzes de Georges Lautner). Mais la fâcherie avec Jean Gabin ne dure pas et ils se retrouvent en 1967 pour Le Pacha. Ils collaborent encore occasionnellement : Sous le signe du taureau de Gilles Grangier ou Le drapeau noir flotte sur la marmite.

En 1968, il entame une carrière de réalisateur et tourne des films dont les titres sont parmi les plus longs du cinéma français : Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages, Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais… elle cause !. Son premier film comme réalisateur, Faut pas prendre les enfants du bon Dieu..., est un succès commercial, mais l'accueil du public va déclinant et lui-même est peu convaincu par cette expérience. Après huit films de fiction et un documentaire, il revient à sa véritable vocation de dialoguiste et de scénariste.

250px-CesarBaldaccini_JacquesLanzman_MichelAudiard_au_Palace_1981_photographie_Olivier_VM_Dumay.jpgMichel Audiard (de profil, à droite) en compagnie de César Baldaccini et Jacques Lanzmann (1981).

Le 19 janvier 1975, alors qu’il travaille avec le réalisateur Philippe de Broca au scénario de L'Incorrigible, il est durement touché par la mort d'un de ses fils, François, tué dans un accident de voiture. Il en conserve une profonde tristesse qui donnera à son œuvre une tonalité plus sombre (Garde à vue et Mortelle Randonnée de Claude Miller), même s’il continue par ailleurs à participer à de gros succès populaires (Tendre Poulet, Le Guignolo, Le Professionnel). En 1978, il publie un roman en partie autobiographique, La nuit, le jour et toutes les autres nuits, pour lequel il reçoit le prix des Quatre jurys. Il y écrit au sujet de la mort de son fils dans un accident de la route, « ... depuis qu'une auto jaune a percuté une pile de pont sur l'autoroute du Sud et qu'un petit garçon est mort ». Il obtient la reconnaissance de ses pairs en remportant le César du meilleur scénario en 1982 pour Garde à vue.

Gérard Lebovici lui propose ainsi qu'à Patrick Modiano d'écrire une adaptation du livre, L'instinct de mort de Jacques Mesrine, que Philippe Labro réaliserait[16]. Le projet est abandonné à la suite de l'assassinat du producteur.

250px-H%C3%B4tel_de_la_Tr%C3%A9moille_%C3%A0_Paris.jpgL'hôtel de la Trémoille à Paris.

Il a vécu dans un duplex rue de l'Assomption (16e arrondissement) puis à l'hôtel de La Trémoille, 14 rue de La Trémoille (8e arrondissement), dans la chambre 102, payée par la production, et où il écrivait ses scénarios[17].

Il meurt le 28 juillet 1985 dans sa maison de Dourdan des suites d'un cancer du poumon, à l'âge de 65 ans.

Il repose au cimetière de Montrouge, dans le 14e arrondissement de Paris[18].

Postérité

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Les dialogues des films scénarisés par Michel Audiard font l'objet d'un véritable culte populaire, comme en témoigne le nombre de sites web consacrés au sujet.

Alexandre Astier (créateur de la série Kaamelott) est un inconditionnel de Michel Audiard et affirme s'en inspirer pour les dialogues de sa propre série. Il en est de même de Bruno Solo et Yvan Le Bolloc'h pour la série télévisée Caméra Café[19].

Hommages

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  • Michel Sardou lui consacre une chanson en 1992, Le cinéma d'Audiard, coécrite avec Didier Barbelivien, mise en musique par Jean-Pierre Bourtayre.
  • Son petit-fils, Marcel Audiard (fils de François), publie en 2017 un roman dont le titre, Le Cri du corps mourant[20], est un clin d'œil à l'un de ses films.
  • Une place dans le 14e arrondissement de Paris porte son nom.
  • Plusieurs communes françaises (Trégueux, Perpignan, Couëron, Ploeren, Dompierre-sur-Mer, Le Castelet, Limas) ont une voie « Michel Audiard ».
  • Un gymnase de Dourdan porte son nom.
  • La ville de Chevreuse, dans les Yvelines, a donné son nom à sa salle de spectacle, inaugurée en 2023[21],[22].
  • Une salle de Eu (Seine-Maritime) porte son nom.

Œuvre

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Romans

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  • Priez pour elle (Fleuve Noir, 1950)
  • Méfiez-vous des blondes (Fleuve Noir, 1950)
  • Massacre en dentelles (Fleuve Noir, 1952)
  • Ne nous fâchons pas (Plon, 1966)
  • Le Terminus des prétentieux (Plon, 1968)
  • Mon petit livre rouge (Presses Pocket, 1969)
  • Vive la France (Julliard, 1973)
  • Le P'tit cheval de retour (Julliard, 1975)
  • Répète un peu ce que tu viens de dire (Julliard, 1975)
  • La Nuit, le jour et toutes les autres nuits (Denoël, 1978) - rééd. 2010
  • Le Chant du départ (Fayard, 2017), édité sous la direction de Laurent Chollet

Autres publications

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  • Chaque fois qu'un innocent a l'idée de monter un chef-d'œuvre, le chœur des cafards entre en transe…, Chroniques cinématographiques, 1946-1949, éd. établie, présentée et annotée par Franck Lhomeau, Joseph K., 2020.
  • Michel Audiard et Georges Simenon, Le Sang à la tête, Maigret tend un piège, Le Président, scénarios édités, présentés et annotés par Benoît Denis, Institut Lumière/Actes Sud, 2020.
  • Ça ne me regarde pas, Reportages, nouvelles et contes inédits, 1946-1947, éd. établie, présentée et annotée par Franck Lhomeau, Joseph K., 2021.
  • Michel Audiard et Albert Simonin, Le Cave se rebiffe, Mélodie en sous-sol, Les Tontons flingueurs, scénarios édités, présentés et annotés par Franck Lhomeau, Institut Lumière/Actes Sud, 2021.
  • Michel Audiard réalisateur, scénarios écrits avec Jean-Marie Poiré, Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages, Le Cri du cormoran le soir au-dessus des jonques, Comment réussir quand on est con et pleurnichard, scénarios édités, présentés et annotés par Thibaut Bruttin, Institut Lumière/Actes Sud, 2022.
  • Michel Audiard-Jean Herman/Vautrin, Flic ou Voyou, L'Entourloupe, Garde à vue, scénarios édités, présentés et annotés par Thibaut Bruttin, Actes Sud/Institut Lumière, 2023

Mise en roman signée G. C. Almidan

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  • Les Barbouzes, Presses de la Cité, Un mystère no 733, 1965 (mise en roman du film Les Barbouzes (1964) de Georges Lautner)

Filmographie

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Scénariste et dialoguiste

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Années 1940
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  • 1949 : Mission à Tanger d'André Hunebelle (scénario et dialogues)
Années 1950
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  • 1950 : On n'aime qu'une fois de Jean Stelli (scénario et adaptation)
  • 1950 : Brune ou blonde, court-métrage documentaire de Jacques Garcia (scénario et dialogues)
  • 1950 : Méfiez-vous des blondes d'André Hunebelle (scénario, adaptation et dialogues)
  • 1951 : Vedettes sans maquillage, court-métrage documentaire de Jacques Guillon (scénario)
  • 1951 : Une histoire d'amour de Guy Lefranc (scénario, adaptation et dialogues)
  • 1951 : Garou-Garou, le passe-muraille de Jean Boyer (adaptation et dialogues)
  • 1951 : Caroline chérie de Richard Pottier (scénario, non crédité au générique)
  • 1951 : Ma femme est formidable d'André Hunebelle (scénario, non crédité au générique)
  • 1951 : Massacre en dentelles d'André Hunebelle (scénario, adaptation et dialogue)
  • 1951 : L'Homme de ma vie de Guy Lefranc (adaptation)
  • 1952 : Adorables Créatures de Christian-Jaque (scénario, non crédité au générique)
  • 1952 : Pour vous, mesdames de Jacques Garcia (dialogues, non crédité au générique)
  • 1952 : Elle et moi de Guy Lefranc (adaptation et dialogues)
  • 1952 : Le Feu quelque part (court-métrage) de Pierre Foucaud (scénario)
  • 1952 : Le Duel à travers les âges (court-métrage) de Pierre Foucaud (scénario)
  • 1953 : Les Dents longues de Daniel Gélin (adaptation et dialogues)
  • 1953 : Quai des blondes de Paul Cadéac (scénario)
  • 1953 : Les Trois Mousquetaires d'André Hunebelle (scénario et dialogues)
  • 1953 : L'Ennemi public nº 1 d'Henri Verneuil (adaptation et dialogues)
  • 1954 : Destinées de Christian-Jaque, Jean Delannoy et Marcello Pagliero (scénario, non crédité au générique)
  • 1954 : Sang et Lumières de Georges Rouquier (dialogues)
  • 1954 : Les Gaîtés de l'escadron de Paolo Moffa (scénario et dialogues)
  • 1954 : Poisson d'avril de Gilles Grangier (adaptation et dialogues)
  • 1955 : Série noire de Pierre Foucaud (dialogues)
  • 1955 : Gas-oil de Gilles Grangier (adaptation et dialogues)
  • 1956 : Jusqu'au dernier de Pierre Billon (dialogues)
  • 1956 : Le Sang à la tête de Gilles Grangier (adaptation et dialogues)
  • 1956 : Mannequins de Paris d'André Hunebelle (adaptation et dialogues)
  • 1957 : Courte Tête de Norbert Carbonnaux (dialogues)
  • 1957 : Le rouge est mis de Gilles Grangier (scénario)
  • 1957 : Mort en fraude de Marcel Camus (scénario et dialogues)
  • 1958 : Trois Jours à vivre de Gilles Grangier (scénario et dialogues)
  • 1958 : Retour de manivelle de Denys de La Patellière (dialogues)
  • 1958 : Maigret tend un piège de Jean Delannoy (scénario et dialogues)
  • 1958 : Le Désordre et la Nuit de Gilles Grangier (adaptation et dialogues)
  • 1958 : Les Grandes Familles de Denys de La Patellière (scénario et dialogues)
  • 1958 : Marchands de rien (court-métrage) de Daniel Le Comte (scénario)
  • 1959 : Archimède le clochard de Gilles Grangier (adaptation et dialogues)
  • 1959 : Pourquoi viens-tu si tard ? d'Henri Decoin (dialogues)
  • 1959 : Maigret et l'Affaire Saint-Fiacre de Jean Delannoy (dialogues)
  • 1959 : 125, rue Montmartre de Gilles Grangier (dialogues)
  • 1959 : Rue des prairies de Denys de La Patellière (scénario et dialogues)
  • 1959 : Babette s'en va-t-en guerre de Christian-Jaque (dialogues)
  • 1959 : Les Yeux de l'amour de Denys de La Patellière (dialogues)
  • 1959 : Vel d'Hiv' (court-métrage) de Guy Blanc (scénario)
  • 1959 : La Bête à l'affût de Pierre Chenal (scénario)
  • 1959 : Péché de jeunesse de Louis Duchesne (scénario)
Années 1960
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  • 1960 : Le Baron de l'écluse de Jean Delannoy (dialogues)
  • 1960 : La Française et l'Amour d'Henri Verneuil (dialogues sur le sketch L'Adultère)
  • 1960 : Les Vieux de la vieille de Gilles Grangier (adaptation et dialogues)
  • 1960 : Spécial Noël : Jean Gabin (TV) de Frédéric Rossif (scénario)
  • 1961 : Un taxi pour Tobrouk de Denys de La Patellière (dialogues)
  • 1961 : Les lions sont lâchés d'Henri Verneuil (dialogues)
  • 1961 : Le Président d'Henri Verneuil (adaptation et dialogues)
  • 1961 : Les Amours célèbres de Michel Boisrond (dialogues sur le sketch Les Comédiennes)
  • 1961 : Le cave se rebiffe de Gilles Grangier (adaptation et dialogues)
  • 1961 : Le Bateau d'Émile de Denys de La Patellière (adaptation et dialogues)
  • 1962 : Un singe en hiver d'Henri Verneuil (dialogues)
  • 1962 : Le Gentleman d'Epsom de Gilles Grangier (adaptation et dialogues)
  • 1962 : Le Diable et les Dix Commandements de Julien Duvivier (dialogues sur le sketch Tu ne déroberas point)
  • 1962 : Le Voyage à Biarritz de Gilles Grangier (scénario, non crédité au générique)
  • 1963 : Mélodie en sous-sol d'Henri Verneuil (scénario et dialogues)
  • 1963 : Carambolages de Marcel Bluwal (dialogues)
  • 1963 : Les Tontons flingueurs de Georges Lautner (dialogues)
  • 1963 : Teuf-teuf (TV) de Georges Folgoas (scénario)
  • 1964 : Des pissenlits par la racine de Georges Lautner (dialogues)
  • 1964 : Cent Mille Dollars au soleil d'Henri Verneuil (dialogues)
  • 1964 : Les Barbouzes de Georges Lautner (scénario et dialogues)
  • 1964 : Une foule enfin réunie (court-métrage) de Monique Chapelle (scénario)
  • 1964 : Une souris chez les hommes ou Un drôle de caïd de Jacques Poitrenaud (adaptation et dialogues)
  • 1965 : Par un beau matin d'été de Jacques Deray (dialogues)
  • 1965 : La Chasse à l'homme d'Édouard Molinaro (scénario)
  • 1965 : La Métamorphose des cloportes de Pierre Granier-Deferre (scénario et dialogues)
  • 1965 : Quand passent les faisans d'Édouard Molinaro (dialogues)
  • 1965 : Les Bons Vivants de Gilles Grangier & Georges Lautner (scénario, dialogues et adaptation)
  • 1966 : Sale temps pour les mouches de Guy Lefranc (scénario et dialogues)
  • 1966 : Ne nous fâchons pas de Georges Lautner (scénario et dialogues)
  • 1966 : Tendre Voyou de Jean Becker (dialogues)
  • 1967 : La Grande Sauterelle de Georges Lautner (scénario et dialogues)
  • 1967 : Un idiot à Paris de Serge Korber (scénario et dialogues)
  • 1967 : Toutes folles de lui de Norbert Carbonnaux (dialogues)
  • 1967 : Johnny Banco d'Yves Allégret (dialogues)
  • 1967 : Fleur d'oseille de Georges Lautner (scénario)
  • 1967 : Max le débonnaire (série TV) de Gilles Grangier, Yves Allégret et Jacques Deray (scénario)
  • 1968 : La Petite Vertu de Serge Korber (scénario et dialogues)
  • 1968 : Le Pacha de Georges Lautner (scénario et dialogues)
  • 1969 : Sous le signe du taureau de Gilles Grangier (adaptation et dialogues)
Années 1970
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  • 1971 : Le drapeau noir flotte sur la marmite
  • 1973 : R comme Roger (Baxter!) de Lionel Jeffries (scénario)
  • 1974 : OK Patron ! de Claude Vital : (scénario, non crédité au générique)
  • 1974 : Vive la France : (voix off et scénario, co-écrit avec Henri Viard)
  • 1975 : L'Incorrigible de Philippe de Broca (scénario et dialogues)
  • 1976 : Le Grand Escogriffe de Claude Pinoteau (dialogues)
  • 1976 : Le Corps de mon ennemi d'Henri Verneuil (scénario et dialogues)
  • 1977 : Mort d'un pourri de Georges Lautner (scénario et dialogues)
  • 1977 : L'Animal de Claude Zidi (scénario et dialogues)
  • 1978 : Le Cavaleur de Philippe de Broca (scénario et dialogues)
  • 1978 : Tendre Poulet de Philippe de Broca (scénario et dialogues)
  • 1979 : Flic ou Voyou de Georges Lautner (scénario et dialogues)
  • 1979 : Les Égouts du paradis de José Giovanni (dialogues)
  • 1979 : La Fabuleuse histoire de Roland-Garros de Charles Gérard (court-métrage)(scénario)
Années 1980
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  • 1980 : Le Guignolo de Georges Lautner (dialogues)
  • 1980 : On a volé la cuisse de Jupiter de Philippe de Broca (scénario et dialogues)
  • 1980 : Le Coucou (Il lupo e l'agnello) de Francesco Massaro (dialogues)
  • 1980 : L'Entourloupe de Gérard Pirès (scénario et dialogues)
  • 1980 : Pile ou face de Robert Enrico (scénario et dialogues)
  • 1981 : Le Professionnel de Georges Lautner (dialogues)
  • 1981 : Garde à vue de Claude Miller (dialogues)
  • 1981 : Est-ce bien raisonnable ? de Georges Lautner (dialogues)
  • 1982 : Espion, lève-toi d'Yves Boisset (scénario et dialogues)
  • 1983 : Mortelle Randonnée de Claude Miller (adaptation et dialogues)
  • 1983 : Le Marginal de Jacques Deray (dialogues)
  • 1984 : Canicule d'Yves Boisset (scénario et dialogues)
  • 1984 : Les Morfalous d'Henri Verneuil (scénario et dialogues)
  • 1985 : On ne meurt que deux fois de Jacques Deray (adaptation et dialogues) (film sorti à titre posthume)
  • 1985 : La Cage aux folles 3 de Georges Lautner (scénario) (film sorti à titre posthume)

En tant qu'acteur

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  • 1968 : Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages
  • 1969 : Une veuve en or
  • 1970 : Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais… elle cause !
  • 1970 : Sortie de secours de Roger Kahane
  • 1973 : C'est jeune et ça sait tout de Claude Mulot
  • 1974 : Vive la France : narrateur (voix off)
  • 1974 : Comment réussir quand on est con et pleurnichard
  • 1975 : Chantons sous l'Occupation d'André Halimi
  • 1977 : Tendre Poulet de Philippe de Broca (voix)

Réalisation, dialogues et scénario

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Note : Films dont Michel Audiard a signé la réalisation, le scénario et les dialogues.
  • 1951 : La Marche (moyen métrage)
  • 1968 : Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages
  • 1969 : Une veuve en or
  • 1969 : Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais… elle cause !
  • 1970 : Le Cri du cormoran le soir au-dessus des jonques
  • 1971 : Le drapeau noir flotte sur la marmite
  • 1972 : Elle cause plus... elle flingue
  • 1974 : Comment réussir quand on est con et pleurnichard
  • 1974 : Vive la France (documentaire satirique sur l'histoire de France)
  • 1974 : Bons baisers... à lundi

Michel Audiard et le box-office

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Films qui dépassent les deux millions d'entrées[23],[24]:

Film Année Réalisateur Entrées
Les Trois Mousquetaires 1953 André Hunebelle 5 534 739
Le Professionnel 1981 Georges Lautner 5 243 511
Le Marginal 1983 Jacques Deray 4 956 822
Un taxi pour Tobrouk 1961 Denys de La Patellière 4 945 868
Babette s'en va-t-en guerre 1959 Christian-Jaque 4 657 610
Archimède le clochard 1959 Gilles Grangier 4 073 891
Les Grandes Familles 1958 Denys de La Patellière 4 042 041
Flic ou Voyou 1979 Georges Lautner 3 950 691
L'Ennemi public nº 1 1953 Henri Verneuil 3 754 112
Les Morfalous 1984 3 621 540
Caroline chérie 1951 Richard Pottier 3 602 845
Mélodie en sous-sol 1963 Henri Verneuil 3 518 083
Les Vieux de la vieille 1960 Gilles Grangier 3 477 455
Cent Mille Dollars au soleil 1964 Henri Verneuil 3 436 161
Rue des prairies 1959 Denys de La Patellière 3 412 201
Les Tontons flingueurs 1963 Georges Lautner 3 321 121
Le Baron de l'écluse 1960 Jean Delannoy 3 161 233
L'Animal 1977 Claude Zidi 3 157 789
Gas-oil 1955 Gilles Grangier 3 096 411
Maigret tend un piège 1958 Jean Delannoy 3 076 005
La Française et l'Amour (sketch : L'Adultère) 1960 Henri Verneuil 3 056 737
La Bande à papa 1956 Guy Lefranc 2 913 256
Poisson d'avril 1954 Gilles Grangier 2 888 610
Le Guignolo 1980 Georges Lautner 2 876 016
Maigret et l'Affaire Saint-Fiacre 1959 Jean Delannoy 2 868 465
Le cave se rebiffe 1961 Gilles Grangier 2 812 814
Le Président 1961 Henri Verneuil 2 785 528
Adorables Créatures 1952 Christian-Jaque 2 711 082
Ma femme est formidable 1951 André Hunebelle 2 632 597
L'Incorrigible 1975 Philippe de Broca 2 568 325
Garou-Garou, le passe-muraille 1951 Jean Boyer 2 566 767
Méfiez-vous des blondes 1951 André Hunebelle 2 525 659
Les Barbouzes 1964 Georges Lautner 2 430 611
Un singe en hiver 1962 Henri Verneuil 2 416 520
Mission à Tanger 1949 André Hunebelle 2 279 374
Le Désordre et la Nuit 1958 Gilles Grangier 2 171 400
Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais… elle cause ! 1970 Michel Audiard 2 148 506
Pourquoi viens-tu si tard ? 1959 Henri Decoin 2 111 564
Le rouge est mis 1957 Gilles Grangier 2 104 394
Garde à vue 1981 Claude Miller 2 098 038
Retour de manivelle 1958 Denys de La Patellière 2 083 608
Les lions sont lâchés 1961 Henri Verneuil 2 054 954
Le Pacha 1968 Georges Lautner 2 050 211
Les Amours célèbres 1961 Michel Boisrond 2 024 604
Faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages 1968 Michel Audiard 2 006 177

Récompenses et distinctions

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  • 60px-Legion_Honneur_Chevalier_ribbon.svg.png Chevalier de la Légion d'honneur : le 28 avril 1976, remise des insignes par Jean Gabin.

Récompenses

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  • 1964 : Edgar du meilleur film étranger pour Mélodie en sous-sol (partagé avec Henri Verneuil et Albert Simonin)
  • 1974 : Prix Courteline
  • 1982 : César du meilleur scénario original ou adaptation pour Garde à vue (partagé avec Claude Miller et Jean Herman)

Nominations

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  • 1978 : César du meilleur scénario original ou adaptation pour Mort d'un pourri
  • 1986 : César du meilleur scénario original ou adaptation pour On ne meurt que deux fois (partagé avec Jacques Deray)

Notes et références

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  1. a et b Archives de Paris, « État-civil, registre des naissances du 14e arrondissement de Paris, du 13 au 20 mai 1920, vue 1 / 31 » Accès libre, sur https://archives.paris.fr (consulté le 24 février 2025)
  2. « LES GENS DU CINEMA © », sur www.lesgensducinema.com (consulté le 12 février 2024)
  3. Dominique Chabrol, Michel Audiard : "c'est du brutal", Flammarion, 2001, p. 238.
  4. Voir sur francofil.se.
  5. « Jacques Audiard : “Mon père entretenait une relation très cynique avec le cinéma” », Télérama.fr,‎ 2015 (lire en ligne, consulté le 23 mai 2018)
  6. L'Appel, « Le Rescapé du Santa Maria. Conte inédit de Michel Audiard » Accès libre, sur https://www.retronews.fr, 12 août 1943 (consulté le 24 février 2025)
  7. France Info, « Michel Audiard : des écrits antisémites sortent de l'oubli 70 ans plus tard » Accès libre, sur https://www.francetvinfo.fr, 13 octobre 2017 (consulté le 24 février 2025)
  8. L'Appel, « La part des pauvres par Michel Audiard » Accès libre, sur https://www.retronews.fr, 18 mai 1944 (consulté le 24 février 2025)
  9. L'Appel, « Du meilleur au pire... par Michel Audiard » Accès libre, sur https://www.retronews.fr, 1er juin 1944 (consulté le 25 février 2025)
  10. Macha Séry, « Michel Audiard, collabo impénitent » Accès payant, sur https://www.lemonde.fr, 26 octobre 2017 (consulté le 24 février 2025)
  11. Bertrand Guyard, « Si vous me permettez de défendre la mémoire de mon grand-père, Michel Audiard » Accès libre, sur https://www.lefigaro.fr, 16 novembre 2017 (consulté le 24 février 2025)
  12. Arnaud Folch, « Audiard membre de la résistance : la preuve » Accès libre, sur https://www.valeursactuelles.com, 3 décembre 2017 (consulté le 24 février 2025)
  13. Stacie Arena, « Jacques Audiard en deuil : sa mère, Marie-Christine Guibert, est décédée » Accès libre, sur https://www.programme-tv.net, 21 janvier 2022 (consulté le 24 février 2025)
  14. Archives de Paris, « État-civil du 14e arrondissement de Paris, registre des mariages du 25 avril au 28 mai 1947, vue 5 / 32, 14M 352 » Accès libre, sur https://archives.paris.fr (consulté le 24 février 2025)
  15. Cf Passé la Loire c'est l'aventure de François Guérif chez Losfeld.
  16. « Si Mesrine m?était conté », sur L'Express, 14 octobre 2008 (consulté le 12 février 2024)
  17. Isabelle Blondel, Olivier Delacroix, Alice Develex, Nicolas d'Estienne d'Orves, Bertrand Guyard, Colette Monsat, Marie-Noëlle Tranchant et Florence Virerron, « Si le Paname d'Audiard m'était conté », Le Figaroscope, semaine du 10 au 16 mai 2017, pages 8-10.
  18. Michel Audiard sur Cimetières de France et d'ailleurs.
  19. DVD des Tontons flingueurs, interview de Bruno Solo et Yvan Le Bolloc'h en bonus caché.
  20. « Le cri du corps mourant », sur cherche-midi.com (consulté le 25 juillet 2017).
  21. « Inauguration du Théâtre Michel Audiard », sur Site officiel de la ville de Chevreuse (consulté le 17 juin 2024).
  22. https://www.pauldureau.fr/theatre-michel-audiard
  23. Source : site officiel de Michel Audiard catégorie Top Box office.
  24. www.jpbox-office.com

Voir aussi

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Alain Paucard, La France de Michel Audiard, L’Âge d’Homme, 2000, prix Simone Genevois, rééd. Éditions Xenia, 2007 et 2013 (ISBN 978-2-88892-163-9)
  • Philippe Durant, Michel Audiard, La vie d'un expert (Dreamland éditeur, Paris 2001) ; réédition revue, corrigée et augmentée de nombreuses interviews inédites parue sous le titre Michel Audiard ou comment réussir quand on est un canard sauvage (Le Cherche Midi, Paris 2005)
  • Michel Audiard, Audiard par Audiard (édition La mémoire du cinéma français/René Chateau, 400 p., Paris 2000)
  • Philippe Durant, Le Petit Audiard illustré par l'exemple (Nouveau Monde, Paris 2011)
  • Stéphane Germain, L'Encyclopédie Audiard (Hugo&Cie, Paris 2012)
  • Philippe Lombard, Le Paris de Michel Audiard : Toute une époque, Paris, éd. Parigramme, 2 février 2017, 128 p., 28 cm (ISBN 978-2-84096-991-4, BNF 45203000).
    Le dépôt légal à la BnF est fait au nom de la Compagnie parisienne du Livre, raison sociale à laquelle se rattache la marque commerciale « Éditions Parigramme ».
  • Marion Froger, « Histoire et panache dans le cinéma de Michel Audiard au tournant des années 1960 (1958-1964) », Études françaises, vol. 47, no 1,‎ 2011, p. 75-91 (lire en ligne)
  • Franck Lhommeau, « La Vérité sur l'affaire Audiard », Temps Noir, no 20,‎ novembre 2017, p. 200 à 311
  • « Michel Audiard, le mauvais esprit : dossier », Revue des deux mondes, juillet-août 2022, p. 19-105
  • Fabrice Defferrard, Les lois de Michel Audiard - Liberté, Fraternité, Égalité, collection Droit & Cinéma, Éditions Mare & Martin, 2021

Articles connexes

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  • Liste de scénaristes de cinéma par ordre alphabétique
  • Michel Audiard sur Wikiquote

Liens externes

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  • Ressources relatives à l'audiovisuelVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • AllMovie
    • Allociné
    • American Film Institute
    • British Film Institute
    • César du cinéma
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